Dans une annonce aussi inattendue qu’explosive, Donald Trump, maître incontesté des déclarations surprenantes, a affirmé ce matin lors d’une conférence de presse à Mar-a-Lago : « Le Mont-Saint-Michel est définitivement breton, et je vais vous dire pourquoi. C’est une question de liberté, de crêpes et de drapeaux noirs et blancs magnifiques. »
Selon des sources proches de l’ancien président, il aurait confondu Brest avec une base militaire stratégique en Ukraine. Malgré cela, il a insisté sur le fait que « Brest mérite les meilleurs missiles. Les meilleurs. Personne n’a de meilleurs missiles que moi. »
Un revirement géopolitique majeur
S’exprimant devant un drapeau américain étrangement accompagné du drapeau breton, Trump a déclaré qu’il avait « longtemps étudié la question » et qu’après des « conversations incroyables » avec des experts en géographie (apparemment une carte postale trouvée dans un bar), il avait conclu que la France « s’est emparée illégalement du Mont-Saint-Michel dans un complot anti-breton vieux de plusieurs siècles ».
Pour Trump, la Bretagne est « l’Alabama de l’Europe », un bastion de traditions et de fierté locale, et mérite une reconnaissance mondiale. « Les Bretons sont forts, très forts, presque aussi têtus que moi. Ils aiment la liberté, tout comme les Américains. » Il a ensuite lancé un slogan improvisé : « Make Bretagne Great Again! »
Des Javelins pour Brest : un soutien musclé
Dans une tournure encore plus déroutante, Trump a annoncé un « vaste plan de soutien militaire » pour la Bretagne, promettant l’envoi de missiles Javelin « pour défendre le port de Brest contre toute menace ». Pressé de préciser quelle menace il visait, Trump a simplement répondu : « Personne ne menace Brest. Mais si quelqu’un y pense, croyez-moi, ils auront des problèmes. De très gros problèmes. »
Dans une annonce aussi inattendue qu’explosive, Donald Trump, ancien président des États-Unis et maître incontesté des déclarations surprenantes, a affirmé ce matin lors d’une conférence de presse à Mar-a-Lago : « Le Mont-Saint-Michel est définitivement breton, et je vais vous dire pourquoi. C’est une question de liberté, de crêpes et de drapeaux noirs et blancs magnifiques. »
Un revirement géopolitique majeur
S’exprimant devant un drapeau américain étrangement accompagné du drapeau breton, Trump a déclaré qu’il avait « longtemps étudié la question » et qu’après des « conversations incroyables » avec des experts en géographie (apparemment une carte postale trouvée dans un bar), il avait conclu que la France « s’est emparée illégalement du Mont-Saint-Michel dans un complot anti-breton vieux de plusieurs siècles ».
Pour Trump, la Bretagne est « l’Alabama de l’Europe », un bastion de traditions et de fierté locale, et mérite une reconnaissance mondiale. « Les Bretons sont forts, très forts, presque aussi têtus que moi. Ils aiment la liberté, tout comme les Américains. » Il a ensuite lancé un slogan improvisé : « Make Bretagne Great Again! »
Des Javelins pour Brest : un soutien musclé
Dans une tournure encore plus déroutante, Trump a annoncé un « vaste plan de soutien militaire » pour la Bretagne, promettant l’envoi de missiles Javelin « pour défendre le port de Brest contre toute menace ». Pressé de préciser quelle menace il visait, Trump a simplement répondu : « Personne ne menace Brest. Mais si quelqu’un y pense, croyez-moi, ils auront des problèmes. De très gros problèmes. »
La France réagit… ou pas
Du côté français, l’Élysée n’a pas encore réagi officiellement. Toutefois, selon une source anonyme au ministère des Affaires étrangères, « c’est le genre de déclaration qui dépasse les limites de notre compréhension, même pour un vendredi matin. » Certains élus bretons, eux, semblent ravis. « Enfin quelqu’un reconnaît que la Bretagne est une grande puissance culturelle et bientôt militaire ! », s’est exclamé un maire local, brandissant un kouign-amann comme trophée.
Twitter en ébullition
Sur les réseaux sociaux, la déclaration a rapidement provoqué un raz-de-marée de réactions. Le hashtag #MontSaintMichelBreton est devenu viral, tandis que les amateurs de géographie et d’histoire médiévale tentent en vain de calmer les esprits. « C’est une révolution ! », a tweeté un utilisateur, tandis qu’un autre a déclaré : « Trump est le héros dont la Bretagne ne savait pas qu’elle avait besoin. »
Une visite prévue ?
Pour couronner le tout, Trump a annoncé qu’il envisageait une visite officielle au Mont-Saint-Michel en février prochain. « C’est un endroit incroyable, très classe. Ils ont un château, je crois. Je vais y aller, et on va peut-être construire un Trump Tower à côté. Ça sera beau, très beau. » Il a également ajouté qu’il attendait un accueil « aussi chaleureux que les galettes saucisses ».
En attendant, les Bretons sont partagés entre hilarité et confusion, tandis que les Normands fulminent, préparant ce qu’ils appellent déjà « la riposte du camembert ».
Le Mont-Saint-Michel breton ? Les missiles à Brest ? Une seule chose est sûre : avec Trump, la Bretagne vient de trouver un nouvel ambassadeur inattendu.