SCANDALE: Macron TUE un

Coup de tonnerre dans le monde de la tolérance ZERO.
Après le sauvetage d’un enfant par Mamoudou Gassama, puis le geste d’Emmanuel Macron pour faciliter la régularisation du jeune homme, les électeurs frontistes qui avaient pris quelques sympathies pour lui ont vite fait machine arrière pour l’accabler et ironiser en agitant des gamins aux balcons en gueulant « PAPIERS GRATOS POUR BAMBOULAS » et autre joyeusetés.

Pour faire plaisir à cet électorat CAPITAL, Macron, que l’on savait fan de bon gros GUNS a donc décidé de faire un geste en leur direction. Fort de ses apprentissages au pays de Trump il a décidé aujourd’hui de flinguer un noir (même pas migrant) pour équilibrer la donne en affichant le slogan:
« Un qui entre, un qui sort ».
Wauquiez est sans voix!

Laurent W. : « J’avais proposé cette loi lors de l’université d’été des républicains et du Ku Kux Klan, n’accepter des gens de couleurs sur notre territoire qu’à condition d’en flinguer d’autres déjà présent, Nadine Morano avait A-DO-Ré l’idée même si elle avait précisé qu’il ne fallait quand même pas toucher à son unique « très bonne amie noire »™, enfin bref, cette mesure de Macron, c’est purement et simplement du vol ! Du vol d’une excellente idée à moi ! ».

Sur ces saines paroles il se retourne dans son habit de colon anglais pour prendre un thé apporté par un esclave basané menacé par l’arme de poing de Brice Hortefeux. Nous le quittons pour nous rendre au palais présidentiel où Emmanuel, déguisé lui aussi en colon, s’adonne à une partie de « chasse au boukak »™ dans les jardins du palais en tirant au fusil depuis une voiture de golf électrique conduite par Vincent Bolloré hilare. Nous profitons d’une pause pipi dans les buissons pour lui tendre notre micro:

MPR: « Monsieur le président, cette nouvelle loi n’est-elle pas quelque peu immorale ? »
Macron: « Bien au contraire, si nous tuons tous ces gens aujourd’hui c’est pour pouvoir en accueillir bien plus demain, c’est toute l’idée de la « nouvelle façon de gouverner »™ que nous développons à la « république en marche »™, si nous prenons d’un coté, c’est pour donner de l’autre (mais pas forcément aux mêmes, d’abord les copains quand même). Nous voulons un éveil des consciences et que chacun prenne ses responsabilités, l’état n’est pas une corne d’abondance dans laquelle les uns et les autres pourraient puiser gratuitement une aumône généreuse dispensée sans contre-partie. Nous voulons que nos citoyens comprennent que chaque don, chaque geste en leur faveur, demande aussi un sacrifice de leur part ».

Sur ces entre-faits un malheureux tout nu surgit d’un buisson non loin et tente de filer vers les murs d’enceinte. Emmanuel relève sa braguette, sort un beretta de son holster et tire un pruneau directement dans le cul du malheureux qui s’effondre dans un gémissement venu du fond des âges.

Macron: « vous voyez c’que j’veux dire ? ».

Bolloré se bidonne d’un air cynique les bras croisés sur le volant du véhicule alors qu’Emmanuel s’avance au dessus du corps agonisant de l’homme tout nu, pointant son révolver vers son visage en larmes.

MPR: « Donc si j’ai bien compris là un migrant de plus va être régularisé ».
Macron: « Ha non, on s’attend quand même à ce qu’ils fassent des efforts en retour, on ne va pas les prendre au hasard, mais vous comprenez, en attendant il faut qu’on en dégage un certain nombre pour créer une sorte de fond de roulement négatif, une poche de disponibilité. Et puis là de toute manière il ne s’agissait que d’un esclave des plantations de Vincent, c’est juste de l’entraînement vous comprenez … sans famille, sans amis, sans terre, sans possessions, il ne manquera à personne celui là.
Sur ces mots il tire un pruneau dans le lobe frontal de l’homme à terre qui tentait en vain de murmurer une supplication immédiatement étouffée par l’assourdissante détonation.

MPR: « Oui m’enfin … c’est pas très gentil vous comprenez ».
Macron: « La gentillesse … c’est avec ça qu’on gouverne un pays ? »

Emmanuel et Vincent partent dans un grand rire sonore alors qu’une nouvelle silhouette s’échappe d’un buisson un peu plus loin. Le président monte sur le véhicule et Vincent le fait partir en trombe à la poursuite de l’individu paniqué.  Nous quittons l’Élysée alors que résonnent derrière nous les coups de feu et les hurlements de ce jeu royal. Une question nous taraude cependant … quand fera-t-il la même chose aux fonctionnaires ?
Seul les vré sachent !

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Dr Alanis Laros
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