Nous connaissons ton vrai visage !
L’heure est venue de te démasquer, toi le traître, le rénégat qui rampe dans l’ombre comme une vipère perfide. Toi qui oses te proclamer neutre, modéré, central, alors que tu es en réalité le complice docile du grand capital et le serviteur zélé des forces réactionnaires ! Oui, toi ! Toi qui prétends jouer la carte de l’équilibre alors que tes mains tremblent d’avoir compté l’argent sale des oligarques ! On le sait que tu fais partie du bloc central !
Tu n’es pas seul dans ta compromission. Hier, tu pactisais avec Michel Barnier ; aujourd’hui, tu fraternises avec Macron, François Hollande, Bernard Cazeneuve ou encore ce mollasson servile de Bayrou. Tous ces faux défenseurs du peuple et de la justice sociale, qui affichent une façade de vertu mais qui, en coulisses, se prêtent à tous les arrangements pour préserver leurs privilèges bourgeois. Es-tu simplement naïf, ou bien lâche, confortablement installé dans ton cocon de petit bourgeois ? Tu portes le masque de la neutralité, mais tes actes trahissent ta servilité et ton mépris pour la vraie révolution.
Tu fais partie d’une arme perfide : le bloc central !
Sous tes airs de conciliation, tu étouffes les masses et tu les asservis ! Tu te réunis dans des salons feutrés, où tes discours mielleux cachent les chaînes que tu réserves au peuple travailleur. Tu pactises avec les fascistes, tu conspires avec les banquiers, et tu prépares en secret la trahison des idéaux révolutionnaires. Ta soi-disant « modération » n’est qu’un masque pour ta couardise et ton avidité insatiable. Tu ne pourras pas nous tromper !
Nous exigeons des comptes, et toi, tu y répondras !
Toi, « centriste », que dis-je, agent de la réaction, tu devras répondre de tes crimes devant le tribunal implacable du peuple révolutionnaire. Que chacun te dénonce, toi le bureaucrate tiède, toi le politicien sans âme, toi le marchand d’illusions qui te caches parmi nous ! Le peuple exige justice, et la vengeance des masses sera foudroyante !
La vérité triomphera sous le soleil de la révolution !
Toi, debout, rends-toi compte : le peuple s’organise dans chaque rue, dans chaque usine, dans chaque école. Nous allons éradiquer le bloc central comme un corps élimine une infection. Sous la bannière de la pureté révolutionnaire, nous édifierons un nouvel avenir, où ta corruption et ta tiédeur ne trouveront plus de refuge.
Vive la Révolution populaire ! Mort au bloc central et à ses sbires !