Un second tour acharné.
Alors que la campagne vers la présidence de la République se poursuit et que les deux ténors de la politique, que dis-je, les deux champions de la rhétorique, j’ai nommés à ma droite Emmanuel Macaron et a gauche Marina Le Pen se font face à fesse, les répliques cinglantes se font, et sortent du lot de conneries promesses faites.
Emmanuel Hollande, que dis-je François Macron a encore frappé.
A déclaré devant les caméra de la prison de Fleury Mérogis, François Fillon, désormais surnommé respectueusement « Boss » par ses compagnons de cellule.
Une phrase qui rappelle les heure les plus sombre du dernier quinquennat.
Commente Bernard-Henri Lévy, entre deux entraînement avec les troupes libyennes. Effectivement, cette phrase n’est pas sans rappeler celle prononcée en 2012 par Emmanuel François Hollande.
Le monde politico-merdiatique retourné.
Cette déclaration est non sans impact, prononcée ce matin même à Amiens lors de sa visite à la chambre de commerce et de l’industrie, Emmanuel Macron a tout de suite perdu 47 points dans les sondages. Heureusement pour lui, il a gagné sa battle de rap face à Marina Le Pen qui passait dans le coin ce qui lui a valu de regagner lesdits points.
Un public ravi par cette déclaration.
« MON PIRE ENNEMI C’EST LA FINANCE » beugle le candidat d’En Marche® devant une foule conquise. Cette phrase, désormais culte, prononcé par le Lance Armstrong de la politique, devant 500 ouvriers en grève, qui ont exulté à l’écoute de cette phrase.
Plus tard dans la journée, Marinon Le Pen lui dira « Vous êtes pour l’oligarchie financière« , ce à quoi notre Emmanuel national répondra, « Vous n’avez pas tord » avant de repartir au bras de sa mère femme.