Vincent Reynouard lance le régime DuCamp de concentration.

Suite au succès du régime Dukan promu par les média mainstream aux mains de qui vous savez, après le pranisme injustement occulté par le lobby de la production alimentaire qui asservit l’humanité depuis l’expulsion du Jardin d’Eden, en vertu de la morale vengeresse vétéro testamentaire judéo-protestante, une nouvelle tendance secoue le landerneau des régimes éthico-véritatriens.

En effet, le courageux lanceur d’alerte Vincent Reynouard, en exil pour avoir levé le voile sur les aspects les plus humanistes du régime national-socialiste: partie de football à Auschwitz, tournois de boxe opposant aryens virils et sémites efféminés, filles de joies gitanes gracieusement fournies pour agrémenter la vie des travailleurs contribuant à effort de guerre (Martinez si tu nous lis)…etc nous révèle cette fois que le régime national socialiste allemand était aussi pionnier en diététique qu’il ne l’a été en missiles balistiques.

En se limitant à la dose calorifique journalière octroyée à un prisonnier de guerre soviétique dans un Stalag biélorusse, notre chercheur de vérité a non seulement perdu toute graisse disgracieuse et superflue, mais il a également prouvé l’incroyable: perdre 66% de sa masse corporelle et 90% de sa masse neurale ouvre le chakra de l’insoumission à l’ordre établi. Pour expliquer un tel succès, notre chercheur de vérité fait l’hypothèse que seule une civilisation ancienne dépositaire d’une sagesse perdue, telle la civilisation atlante ou celle des bâtisseurs de pyramides, a pu être à l’origine de ce régime. Et le chaînon liant ce savoir à la diététique hitlérienne serait Hans Frank, dévoué administrateur de la soit disant Pologne et membre de la  Société de Thulé qui, comme nos chers lecteurs encore trop formatés par l’idéologie de Nuremberg l’ignorent, était une société savante consacrée à la redécouverte des secrets de la civilisation hyperboréenne. A méditer, à jeun.

 

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