Le VRAI Grand Remplacement. Les migrants ne voleront pas votre vie : les robots l’auront fait avant.

Dans une tribune co-signée par Elon MUSK, Bill GATES et Stephen HAWKING, un cri d’alarme est lancé : nous sommes au bord d’un collapse techno-numérique d’une ampleur à nulle autre pareille.

Plus grave, toute l’histoire récente peut être décrite comme un algorithme ourdi par une intelligence artificielle féroce, omnipotente et démoniaque dans lequel le événements se déroulent de façon à dissimuler au regard les véritables projets des élites mondialistes.

Cette arme de guerre, c’est l’algorithme du Nouvel Ordre Mondial.

Toute l’histoire récente ne serait qu’une bouffonerie destinée à capter l’attention, à la détourner des manœuvres remplacistes orchestrées par les IA. Cette idée semble folle, mais, à la lecture de l’enquête de Roch SAUQERE, on demeure frappés d’étonnements, mutiques, accablés par l’énormité des révélations. On ne sait rien de plus, on est certain de rien -il ne faut jamais l’être- mais, en quelque sorte, notre coeur s’est ouvert.

INDUIRE LA SOUMISSION

Le réseau social est le vecteur par excellence du projet remplaciste. L’individu y existe comme une cellule vulnérable dans un environnement technologique qui la dépasse. L’ensemble de ses actes d’existence est vécu comme une répétition de rituels de soumission à l’ordre techno-numérique. Il faut avoir de la batterie, se connecter, être dans une zone couverte par le réseau. C’est une habituation progressive de la vie selon la machine. Peu à peu la vie disparaît, et la machine s’installe.
Une fois que la vie numérique a suffisamment étendu son empire, il faut la remplir. Alors interviennent les récits plus ou moins crédibles qui prétendent nous construire une vision du monde. Puis les récits qui parlent des récits et ainsi de suite. C’est Talmudique.

On ne sait plus qui commande, qui dirige, qui décide. Alors, le but du pouvoir ne saurait être autre chose que de chercher à produire un contenu à même d’imposer sa vision du monde à l’ensemble de la population le plus discrètement possible. C’est exactement ce qui est à l’oeuvre. Nous sommes soumis, avec notre consentement, à un dressage total, identique à celui d’un chien de combat : on apprend des gestes qu’on répète jusqu’à en perdre la signification. On agit par habitude.

On devient peu à peu un robot.

Mais il est important de donner à l’homme contemporain, cette créature follasse, volatile et volubile une illusion de liberté, ainsi qu’une illusion d’oppression, afin que celui-ci puisse se complaire dans une illusion de résistance.

LE MIROIR AUX ALOUETTES

Bismarck l’avait compris, les communautés se créent plus aisément autour d’un ennemi commun. Le migrant est un objet de propagande idéal. C’est pourquoi les remplacistes importent des migrants en masse. Mais ce n’est pas, contrairement à ce que prétend l’effroyable Renaud CAMUS, pour que ceux-ci s’installent définitivement chez nous.

Les migrants ne sont qu’un leurre destiné à nous faire oublier l’avènement du totalitarisme robotique.

Le migrant est d’autant plus efficace qu’il cristallise toutes les peurs, légitimes, que les bouleversements contemporains inspirent chez nos semblables. A qui profite le crime ?

Tant que le commun des mortels croit que le migrant est son rival, tant qu’il cherche à protéger de celui-ci et son emploi et sa famille -tant qu’il se fourvoit, donc- le pouvoir insidieux des robots n’est pas remis en question. Mais déjà, les usines ferment et les femmes humaines dont les maris ne sont pas encore au chômage se désolent quand épuisés ils rentrent du Bar à pipes automatiques où ils se font traire à la fin du poste.
Le procédé peut se décliner. On construit un ennemi selon ce qu’il faut dissimuler. La chose est très facile. Une fois en possession de l’ennemi de pacotille, on l’agite. Tout est bon tant qu’on oublie les robots.

De même que le Nouvel Ordre Mondial parvient à dissimuler ses plans infâmes en alimentant la peur du migrant, il provoque des bouleversements sanitaires selon des méthodes maquiavéliques.
Il s’agit de créer de la supsicion. On invente des mythes, on les fait circuler et c’est parti.

Bientôt, en Europe, plus personne ne se vaccinera et tout le monde se soignera avec des piqures antitétaniques au purin d’ortie.

Alors, au coeur de cette masse consentante et ramollie par un obscurantisme consenti, les milices robotiques dissémineront des maladies et des virus pour qu’enfin l’homme cesse de se répandre en leurs projets comme un lichen.

 

 

LES ARMES DE LA TERREUR

PISTORIUS, l’ancien gloire du groupe WEATHER REPORT a connu un second souffle inattendu en devenant la pute des élites transhumanistes

Sans le dire, les robots ont pris le pouvoir sur tout les champs de la vie humaine.

Les transactions financières sont numérisées.

L’amour a lieu de plus en plus sur internet.

Les organes de sécurité sont entièrement numérisés.

Les armes sont pilotés par ordinanteurs.

LE JOUR OU ILS L’AURONT DECIDE, LES ROBOTS PRENDRONT LE POUVOIR.

Ils gouverneront nos banques, nos armées, mais aussi nos âmes et nos coeurs.

QUE FAIRE ?

Le dissident moderne doit vivre avec son temps. On ne méditera jamais assez, hélas, l’exemple de ces braves Indiens des Plaines qui périrent non par manque de valeur, mais par manque de moyens. On perd toujours à refuser la technique.

C’est une loi de la jungle bébé.

Ne nous cachons pas derrière notre petit doigt, comme disait D.Reinhart, la technologie nous submergera de bon ou de mauvais gré, alors il faut prendre la mesure de ce phénomène et s’en prémunir. Il faut prendre acte de l’histoire et intégrer la question des communautés robotiques à l’ordre du jour des Nations Unies. Car il arrivera un jour où les robots, et tout les objets connectés, en seront arrivés à un niveau d’autonomie et d’éducation telle qu’ils réclameront, comme d’autres indigènes avant eux, des droits et leur indépendance. Ne nous laissons pas dépasser et anticipons la création d’instutions que le futur nous exige.

Un parlement des objets, oui, mais aussi un tribunal. Le temps est venu de convoquer la technologie au tribunal de la raison.

Aussi, NOUS DISSIDENTS, nous demandons de toute urgence un moratoire sur le développement robotique et la sanctuarisation constitutionnelle des points suivants :

-Préférence biologique/

La règle est le cercle concentrique. D’abord la famille, puis la race, puis l’espèce humaine, puis la vie. La technologie vient après dans l’ordre des priorités. Ainsi, nous exigeons, au nom des lois de la robotique, que les machines soient programmées pour cesser de fonctionner lorsqu’il est avéré qu’elles s’accaparent l’emploi d’un ou plusieurs humains de souche.

-Robotisation zéro /

En instaurant le principe de la robotisation zéro, nous pourrons éradiquer les réseaux mafieux et proxénétes alimentés par des robots. Plus de bar à pipes clandestins. Plus de crystal meth à prix cassé. Il est temps de protéger notre jeunesse. La robotisation, qu’elle soit régulière ou clandestine, constitue une menace pour notre culture.

-Robotisation choisie/

toujours dans le respect des lois de la robotique, nous exigeons que la robotisation se fasse sur le mode de la robotisation choisie. Assez de robotisation sauvage.

La société humaine ne peut pas accueillir toute la misère de la technologie, mais elle doit en prendre sa part. La robotisation choisie répond à cette double injonction.

Moralisation de la finance internationaliste/

les robots ne se contentent pas d’envahir nos usines et d’y déloger d’honnêtes travailleurs, ils entendent aussi récupérer les bénéfices de leurs productions et investissent massivement dans le BITCOIN. A ce jour, la quasi-totalité des devises en BITCOIN est stockée sur des serveurs quelque part à WALL STREET, c’est-à-dire sur des machines, c’est-à-dire au main des robots.

FUCK YOU I WON’T DO WHAT YOU TALE ME

Plus que jamais, la rage contre la machine est légitime. Il nous appartient de résister. Il nous appartient de devenir les gitans de la robotique, des nomades sans attaches ni entraves, des hobos numérique libres et virils, des monades subversives imperméables à la séduction du progrès et à la décadence des remplacistes. Que faire ? Il n’y pas vraiment de réponse. La SPERMACULTURE ? Certes comme le disait Pierre RAHBITE, la spermaculture est un moyen de rendre l’écologie plus glamour.

Mais nous estimons que ce n’est pas suffisant.

NOUS DISSIDENTS, nous serons les zadistes de la vie immédiate.

NOUS DISSIDENTS, nous proclamons la création d’un GOUVERNEMENT TRANSITOIRE DE L’HUMANITE DE SOUCHE

NOUS DISSIDENTS, nous acceptons les BITCOINS, car nous ne serons pas les farçons de la dinde

NOUS DISSIDENTS, nous jurons solennellement de faire nos propres recherche.

Un manifeste signé Alain BASHING pour MPR

Comments

comments

Advertisment ad adsense adlogger