CREEPY PASTA : LE DORTOIR DE LA RONDELLE ROUGE

Salut les puceaux, c’est encore Alanis Laros … tu sais, celui qui t’envoi niquer bien profond ta daronne au franprix avec ses amis les dissidents de pacotille qui font des concours de gonflette pour ressembler à des bibendum tarlouzes. On m’enlèvera pas de l’idée qu’à part des PDs et des anciens gros qui ont été nourri au mars dans leur enfance, personne ne fréquente les salles de muscu … mais c’est pas l’sujet.
Ici, et une fois n’est pas coutume j’ai envie de dire … on va parler BITES, CHATTES, FOUTRE et tout le tralalère … vous commencez à m’connaître. Alors bon, c’est une histoire vraie évidemment, mais comme je la copie colle d’un vieux doc écrit en 96 en état d’ébriété et que j’ai pas relu depuis … ben faudra me pardonner, je vais le redécouvrir en même temps que vous. Y a moyen que ça soit un peu drôle mais j’en suis même pas certain, on va bien voir.
BON COOooOOOooCHEMAaaaAaaaaAAAaar !!!

LE DORTOIR DE LA RONDELLE ROUGE
Une histoire mentale 

C’est alors qu’il sort, le fond des couilles bien sèches, du dortoir des filles du lycée Napoléon Bonaparte prés de Gebwiller que Maurice Feusard, jeune jardinier d’origine Est-Allemande est saisit de stupeur.
En effet, à 200m de là, un thermos de couleur verte déborde dans un bouillonnement malsain, d’un fluide visqueux assimilable à un mélange de foutre et de jus de pruneau exception faite de son étrange teinte POUPRE fluorescente.

L’objet planté au beau milieu de la route se dresse comme un plot de signalisation mortel coupant toute tentative de retraite à son range rover multi-pneus hydroponiques … pourtant dieu sait que l’heure est grave. Après moult heures de copulation sanglante avec maintes jeunes filles poitrinaires violées puis éclatées cruellement contre des radiateurs, il se doit de fuir ! Mais que faire ! C’est là qu’une idée « sauvage » explose entre ses lobes cérébraux … bon gré mal gré il doit boire cette liqueur des abysses, cette boue grumeleuse comme le jus de fesses d’une vieille paralytique oubliée dans une remise un soir de canicule … (non je te vois toi là bas, il ne peut pas juste contourner le thermos, ça serait trop facile, et puis c’est moi qui raconte, alors TA GUEULE) !

Il faut faire vite, prenant son courage à deux mains tel sa bite et son couteau, Maurice s’empare du thermos et en déverse le contenu gerbatile dans le fin fond de son œsophage. Le fluide chaud tapisse sa gorge dans une sensation veloutée embaumant la sauce d’orteils avec rabe de croûtes d’ongles et de raclures d’anus. Se délectant de ce suave milk shake il tente de faire abstraction de l’image mentale que lui renvoie cette saveur chiatique, celle d’un accumulât jaunâtre au coin d’une bouche de grand père daubant de la gueule le vieux putois, comme la gueule d’un cheval crevé après avoir mangé des excréments de cerf nourri à l’œuf pourrave pendant trois semaines en se brossant les dents avec de la confiture de pisse de chien.

Impossible de tenir, il craque, il capitule, posant le thermos encore à demi plein à ses pieds, toujours au milieu de la route (lui bloquant donc irrémédiablement le passage).
C’est alors qu’une petite voix se fait entendre derrière lui, une voix féminine, peut-être de celles qu’il avait entendues couiner comme des souris quelques instants auparavant alors qu’il se vidangeait les noix dans quelques vagins frais, étroits et réfractaires.

« Mauuuuuuuuuuriiiiiiiiiiiceeeeeee … nous venons te chercheeeeeeeerrrrrr » !

La voix aux trémolos angoissants comme ceux d’une Céline Dion surgit des enfers semblait provenir des lointains corridors du dortoir … mon dieu, c’était vraisemblablement les spectres des filles éclatées aux rondelles rougies de sang qui revenaient se venger !

« Par dieu je dois fuir » s’exclama le malheureux Maurice bien qu’un léger début d’érection faisait résonner dans sa tête une petite voix contradictoire. Au fond il n’avait jamais souhaité les tuer ces filles, il les aimait, mais aucune n’avait voulu de son amour avec simplicité … il repensait à toutes ces fois où il leur avait narré innocemment des métaphores scabreuses à base de « rose éclose » et autres pétales tombés à l’aube, en espérant que cela les chauffe assez pour que l’une de ces teens accepte de lui briquer le chibre dans la cabane à outils.
Combien de fois avait-il reluqué leurs petits fions rebondis, fraîchement adultes, au galbe parfait et ferme. Il les voyait rouler avec effronterie entre ses plans de tomates alors qu’elles riaient de voix claires en courant en tout sens, suant sous les chauds rayons de l’été, les tétons pointés sous des linges moites aux doux parfums fruités. Il imaginait ces petits culs sous la douche, exhibant leurs courbes élancées et claquant sous la main comme des escalopes crues frappée sur une pastèque luisante. Rien que d’y penser, il en avait mal au zgueg … mais bon, ils les avait changé en hachi parmentier maintenant … ZUT !

Il ne fallait pas trop se prendre de mélancolie tout de même. Dans ses efforts les plus romanesques il avait bien réussi à en impressionner une ou deux, mais presque toujours en vain … c’était pourtant de leur plein gré qu’elles avaient exigé de lui qu’il leur agite son knack placide sous le pif dans des coins isolés de l’internat. Y en a même une qui avait voulu toucher de ses petits doigts minces et froids. Il avait eu si honte, était-ce seulement légal ? HANNNNNN !!! BANDER BANDER BANDER !
C’était ce qu’il avait obtenu de mieux, car toutes arguaient toujours un peu facilement que malgré sa bien belle bite bien rigolote, il n’avait rien à attendre d’elles … qu’il était fou d’y croire … qu’il rêvait complètement ce pauvre vieux chtarb. Le tout avant de repartir en ricanant comme des petites pouffiasses peroxydées … DAMN ! Il avait vu ça de si prés tant et tant de fois … même la petit Sidonie qui lui avait dévoilé sa papillote pour se marrer, dressant ses guibolles en l’air sur une vieille table de classe taguée de cœurs et d’injures pour lui dévoiler son absence de culotte sous sa mini jupe. Sous ce sexe et ce trou de boule timide il avait été hypnotisé par l’aplatissement de la naissance de ses fesses sur cette rougne de table qui avaient été remisée dans sa grange daubant l’huile de moteur. C’est dans l’aplatissement léger de cette chair tendre qu’il devinait la douceur de sa peau et la légèreté de sa silhouette de gazelle. Cette chair qui s’exposait avec une naïveté feinte et une cruauté à peine dissimulée pour enflammer ses appétits les plus féroces et débridés. Toutes ces petites sottes, avaient échappé trop longtemps à ses pénétrations furieuses comme le toréador échappe avec arrogance au taureau dans ses froufrous à la con … D’UN RIEN … TOUJOURS D’UN RIEN !!! il avait presque pu les toucher, il avait effleuré leurs toisons, presque coincé sa langue entre deux grandes lèvres de foun de cette conne de Sidonie dont le con vierge dégageait une légère odeur d’amoniaque qu’il aurait voulu sentir sur la pointe de sa lécheuse. Et pire que tout, celles qui lui avaient le plus fait miroiter leurs fausses promesses, ne toléraient même pas qu’il tente de balancer sa convoitise sur d’autres en parallèle … à chacune il était chaque fois sa chose, son chien, quand bien même ses instincts et organes génitaux lui hurlaient de se rebeller et le persuadaient qu’au fond, elles aimeraient toutes s’en prendre un bon grand coup bien au fond de la culotte.

Enfin … combien avaient échappé à un dénouement porno de leur relation avec lui en quittant tout simplement l’internat avec les années avant que quoi que ce soit ne soit advenu, l’oubliant sans peine alors qu’il restait hanté de leurs visions pour toujours. Vraiment, ça ne pouvait plus durer.
Il faut savoir être à l’écoute de ses envies … c’est ce que lui a enseigné sa tendre mère, il ne faisait que suivre cet axiome à présent, aveugle aux préoccupations d’autrui dont effectivement on se bat pas mal les steaks si on y réfléchit bien.
Mais je digresse.

Bref, pour en revenir à l’histoire le con est donc là au milieu de la route, BIM il repose le thermos, bouh les fantômes, oups que vais-je faire, BAM merde je bande un peu … Alors voilà il se dit: « Pour partir je dois finir de boire ce Thermos, sinon je vais être suicidé par ces spectres sodomisés qui vont vouloir me suicider de force en me rendant fou mentalement ».

Donc voilà il s’empare du thermos et il le boit à donf … les spectres des jeunes filles commencent à sortir derrière lui dans les ténèbres. VITE VITE MAURICE VAZY VITE !!!
Allez, encouragez le !!! Plus vite Maurice !!! PLUS VITE QUE çA !!!

Alors qu’il fini le thermos une lettre à la dérive engluée au fond vient se coller sur sa gueule. Il la prend et la lit:
« Salut Maurice, ce Thermos contenait en fait tout ton sperme que tu nous as injecté dans nos culs, tu t’es fait OWNED ! EXPTDR ! » signé: LES FILLES (trop lol)

Maurice en lisant ces quelques mots laisse entrevoir des yeux écarquillés comme si c’était des
balles de tennis, puis trop il est MDR, il éclate de rire alors que les fantômettes aux culs rouges apparaissent partout alentour puis hurlent en choeur: « SURPRIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISSSSSSSSSSSSSE ».
Puis elles se précipitent toutes sur lui pour lui faire des poutou poutou, lui toucher le sexe, lui rouler de grosses pelles et lui offrir des lettres d’amour. C’est alors que Maurice Feusard, plein de joie et d’allégresse, rentra chez lui trop MDR. Haaaa Maurice Feusard, un beau salaud et un sacré queutard ! Lol !

La conclusion de cette histoire, c’est que toutes les histoires de tueurs et de fantomes ne finissent
pas forcément mal. Prenez-en d’la graine.

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Dr Alanis Laros
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