Villani : « La coke sur les couilles, ça marche très bien »

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Pour la campagne des municipales, Cedric Villani se dévoile. C’est dans un bar de la rue Montorgueil, que nous l’avons croisé, détendu.

« Je viens toujours dans ce café. Souvent le taulier ferme le rideau de fer et on peut fumer à l’intérieur, c’est très agréable. On sent vraiment la vie parisienne telle qu’elle s’exprime depuis des décennies : la chaleur de la nuit, l’odeur du zinc, la légèreté des moeurs »

« C’est d’ailleurs ici que j’ai pu mettre un terme à mes recherches sur la géométrie riemannienne, ce même soir, où j’ai connu une des expériences sexuelles des plus intenses. Quand Archimède élabora sa fameuse théorie de la poussée, c’est grâce à sa femme. Exténué par ses travaux, elle l’invita à prendre un bain, c’est en s’enfonçant dans l’eau savonneuse qu’il s’écria « Eureka ! » et théorisa ce phénomène. »

« C’est à peu près la même chose qui m’arriva un soir : Quand Alinka me mis de la coke sur les testicules, je criai « Eureka ! », et finalisai tout en me faisant besogner par ma torride assistante, cette théorie qui me propulsa dans le panthéon des mathématiciens. La coke sur les couilles, ça marche très bien ».

« Ma décision de porter une candidature dissidente à Paris ? Alinka ne joua aucun rôle dans cette décision. Ce fut plutôt grâce à Francis. Quand il me mit de la coke sur les testicules et me besogna, tout me paru évident, j’aimai ce soir là Paris, si fort, que je m’écriai « Eureka! » et pris ma décision ».

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