NICOLAS S. rescapé de l’enfer de la drogue, il témoigne !

« Je ne pensais pas pouvoir faire tant de mal aux gens … j’étais comme fou et pourtant au dedans de moi, quelque chose me disait que j’allais trop loin ».

C’est la gueule blafarde, les yeux rougis, et avec un peu de mousse de bave au coin des lèvres que Nicolas S. nous ouvre ses portes en ce premier mai 2018.
S’il accepte de témoigner c’est sous couvert d’anonymat.
A le voir se traîner dans son appartement crasseux et maculés de pisse, son slip dim gonflé par un étron géant non contrôlé, lâché en marchant, dans un pet atomique tonitruant, on a du mal à croire qu’il ai un jour pu être au sommet de la pègre française et diriger le pays de 2007 à 2012.
L’ancien chef d’état est épuisé, il s’assied sur une chaise, faisant par la même occasion gicler la merde qu’il a au cul jusque sur le pantalon de notre photographe. Il s’allume une gitane de ses mains crasseuses alors que j’essaye de m’asseoir sur une chaise moins collante et malodorante que les autres en tentant de me rassurer moi même en pensant à la douche que je prendrais dés mon retour chez moi.

« Elle devrait pas être trop pleine de merde celle là, je viens de pisser dessus », balance-t-il en pointant celle que je tire pour m’asseoir. Je reste debout. Séparé de sa famille politique et de ses meilleurs amis et électeurs qui l’ont tous délaissé après ses nombreuses rechutes et ses crises de paranoïa destructrices, il paye à présent avec difficulté son nouvel ISF (malgré la réforme de Macron) en s’appuyant sur les deniers qu’il tire de quelques conférences surpayées, des indemnités liées à ses anciennes fonctions et d’un emploi fictif dans une chaîne d’hôtel bien connue.

Menacé de déclassement social et d’un rabaissement à la vulgaire « haute bourgeoisie », Nicolas S. n’est plus que l’ombre de celui qu’il était il y a encore quelques années quand son gros tarin n’était qu’une écluse à poudre blanche et qu’il joggait avec sa rolex sur les cotes ensoleillées entre deux séances de bronzing sur le yacht du milliardaire Vincent B.

MPR- « Monsieur S. comment en êtes vous arrivé là ? »

Nicolas S.« Et bien en fait j’ai toujours adoré mon pays, j’ai commencé par vendre des hotdogs sur les champs Elysées, c’était cool mais ça payait pas des masses. Y avait un gros keum qui passait souvent avec ses goons pour se tailler une bavette sur le pouce, le mec m’aimait bien et m’ajoutait des rails de poudreuse vite fait sur des tracts UDR en bonus de ses thunas … et une fois bien repoudrés on jaquetait peinard. Le mec sniffait en pleine rue, sous les yeux des flics, et personne ne mouftait … c’est là que j’ai compris que je voulais moi aussi entrer dans la mafia politicienne … et devenir le meilleur ! »

Nous sommes à la fin des années 70, le gamin ouvre grand sa narine droite (par conviction) et aspire la poudre sans sourciller devant le sourire paternel de son interlocuteur, un certain Charles P. . Le politicien gouaillard lance au jeune homme, de sa voix méditerranéenenne : « Hé kong, je t’aimeu bieng toi, PUTAING DE TOI HEING ! Pourquoi que tu viendrais pas avé nous ! Je t’ai ramené toute une poche de poudreuse, tu verras, elle a goût à liberté, vieng donc nous rejoindre au lieu de faireu ta cagoleuuuu ».

Nicolas S. n’hésite pas longtemps, à partir de là tout s’enchaîne, l’addiction à la coke ne lui semble pas évidente au départ, il est jeune, en consomme uniquement avec cet invité mystérieux … il ne sent pas encore la dépendance, et pourtant le déclic s’est déjà opéré en lui dés la première prise. Sa vie s’accélère d’un coup, il rencontre tous les parrains du crime politique organisé, et gravit les échelons dans les ténèbres de la république. En 81 c’est le proxénète Guy D. qui le prend sous son aile, Nicolas S. rendu docile par la came dont il bénéficie à profusion n’est déjà plus lui-même. Jacques C.-R. tiendra à son sujet ces termes inquiétant montrant à quel point le jeune homme s’était déjà condamné à cette époque.

« la volonté de Nicolas S. était, déjà de devenir président de la République. »

A tout juste 26 ans le jeune homme sous l’emprise des stupéfiants convoite le métier le plus méprisable de tous. Il fréquente les pires criminels français Valéry G. d’E. , Charles P. , Edouard B., mais aussi et surtout JACQUES C. qui deviendra à la fois son mentor et son ennemi juré.

Les deux hommes se plaisent tout de suite même si Jacques, le caïman, sent tout de suite les intentions mesquines de sa vipère de disciple. Mais entre sauriens on se comprend. Les deux hommes partagent quelques putes sur le comptoir du macumba night, ça castagne de l’étudiant gaucho au coté de groupuscule facho dans les ruelles sombres, la vie prend un goût de drogue, de fric et de sang pour ces deux frères de la déchéance.

Au cœur du bouillon sauvage des années 80, les nasaux frétillants de Nicolas S. descendent plus de poudreuse fraîche que les champions des jeux olympiques d’Albertville.
Sous les aîles noires du « rat pack » il devient membre du club le plus malfamé de France, l’assemblée Nationale. Il officie bientôt en tant que ministre du budget et commence à réfléchir a des stratégies de déstabilisation de ses gourous qui, bien qu’étant sa nouvelle famille, sont aussi des obstacles à la folie de son hubris.

Les chiens mangent les chiens et alors que Nicolas S. n’en est toujours qu’à ourdir ses plans en se branlant et en mangeant des montagne de sucre candy par le tarin, Edouard B. et Jacques C. ouvrent les hostilités entre eux comme des grands.
Nicolas S. décide de soutenir Edouard dans cette lutte acharnée … il pense qu’en se mettant du coté du plus « gentil » de ces deux malfaiteurs ils pourra dérouiller avec lui le gros saurien vorace et qu’Edouard lui en sera éternellement reconnaissant.
Erreur … Jacques C. est un trop gros morceau.
A la fin de la mitraille présidentielle, Jacques C. achève Edouard B. de 3 balles électorales dans le crâne en le traitant de grosse biatchs malgré les demandes de ce dernier de bien vouloir « arrêter ».

Suite à cette bataille fratricide Nicolas S. apparaîtra soudain nu … son plan détruit … le cul à l’air dans ses intentions, comme la petite merde traîtresse et arrogante qu’il a toujours été. Jacques lui braque son colt magnum entre les deux yeux, un sourire carnassier sur le visage.
« T’as déjà dansé au clair de lune petit ? ».

Le chien de son arme craque, le fion de Nico pète … un instant suspendu.
Une main pleine de sagesse se pose sur l’épaule de Jacques qui, en sentant l’onde douce de l’amitié traverser son corps, rengaine son arme.
Alain J. … le mystérieux et fidèle second couteau de Jacques est là, derrière lui, et lui demande d’épargner le jeune loup ambitieux.
Jacques C. accepte. Il sort une balle du barillet de son arme et la donne au jeune homme effondré au sol.
« Tu la vois celle là ? »
Nicolas S. est sonné, l’air hagard, il ne sait que répondre.
« DIS PETIT … tu la voix cette bastos ? Garde là précieusement pour le jour où je viendrai te la coller entre les deux yeux ».
(Jour qui n’arrivera pas, Jacques devenant précocement sénile pour échapper à la justice en fin de carrière).

Jacques se redresse et part aux cotés de son ami Alain, dans les ruelles embrumées de Paris by Night, et comme toujours, la police fermes les yeux alors que le petit poing boudiné de Nico se sert sur cette balle jusqu’à lui faire mal. Il tremble de rage … un jour viendra … la vengeance.

Nicolas S.« Je ne voulais pas le trahir, je l’aimais vraiment et voulais qu’il soit fier de moi, la défonce m’avait mis cette curieuse idée en tête, qu’en le battant … en le dépassant … il m’admirerait … une idée puéril je l’avoue ».

Les années passent, voyant la fin de son second mandat arriver, Jacques C. fini par faire de Nicolas S. son ministre de l’intérieur, un cadeau empoisonné !
Son ambition secrète, pousser ce crétin à se faire haïr de la france entière en foutant la merde dans les quartiers et contre les « bougnoules™ » avec ses délires brutaux, pour qu’il passe pour le « méchant flic » à coté du successeur tout désigné pour prendre la relève et qui doit apparaître comme « le bon flic » … le premier ministre, Dominique de V. , poète alcoolique post-colonialiste et exilé fiscal notoire en admiration totale devant le tarin de feu le général de la gaule (autre puissant sniffeur de coke).


Par malheur il y a une couille dans le potage. Dominique de V. est un con et va s’autodétruire en plein vol avec le CPE tandis que Nicolas S. , boosté par la coke que lui fournissent en masse les soutiens bourgeois et racistes qu’il accumule déjà en vue de sa campagne, profite du climat généralisé de tension et souffle sur les braises tout en récupérant les discours de Jean Marie Le P. pour aller chercher de l’électorat du coté droit de l’échiquier ………. et ça marche.
Dominique de V. occupé a se branler et à déjà se croire président, ne voit pas que le jeune loup est depuis longtemps en chasse, courant de partout, le nez rougis par la sniffette, les yeux tourbillonnant et la langue pendante, la coke comme du sucre vanille étalé sur sa poitrine.

La popularité du drogué en chef monte en flèche et rapidement Dominique doit céder sa place en tant que candidat naturel du parti.
L’heure n’est plus à la poésie sous whisky, l’heure est à la poudreuse sauvage.
Nico s’envole grâce a sa propension à séduire les nazis, et s’y ajoute le soutien d’industriels crapuleux à qui il promet des cadeaux fiscaux, il bénéficie aussi des aides financières de dictateurs et de milliardaires, de personnalités médiatiques, de stars beauf de merde et finalement de tout le gratin des plus gros FDP de notre pays qui acceptent de sucer n’importe quelle bite tant qu’on leur sort un joli chèque avec plein de zéro à la fin. Nicolas S. sait qu’il viole le règlement des comptes de campagne, mais il s’en fout … ce qui compte c’est de se faire élire … les emmerdes juridiques ça sera pour plus tard.
Dans sa folie des grandeurs de gros camé il n’en demeure pas moins plutôt intelligent puisqu’il utilise ses plus fidèles lieutenants comme prête-nom et porte flingue pour ne pas se salir les mains directement dans ces opérations mafieuses. Et alors qu’avec ses spots télévisés et ses one man show ultra abusés il épate le futur publique de CYRIL H. qui vote massivement pour lui, Nico S. devient enfin le roi de la France.

Tant de drogue, de sacrifices et de démarches illégales n’auront pas été vains … il a soulevé la terre à son avantage et cela lui permet enfin de faire la seule chose qu’il espérait depuis ses premières ventes de sandwichs … PERDRE SON PUCELAGE.
Sa femme, Cecilia A., qui n’avait jamais fais l’amour avec lui, le renvoyait en effet chaque soir à ses pénates en lui disant « devient président, puis invite moi au Fouquet’s, puis en vacances sur le Yacht de Vincent B. et on en reparlera … en attendant t’as 2 mains pour te faire plaisir, mon petit ».

Le soir de son élection, Nico S. plein de rancœur face à la France entière, ne daigne même pas faire d’allocution, et la bite en feu il met immédiatement à exécution les demandes de sa greluche pour pouvoir enfin la tringler.
Entouré de ses lieutenants et des champions des médias, c’est à une véritable partouze enneigée de coke qu’il s’adonne derrière les portes du Fouquet’s, le monde peut attendre et alors que les putes enchainent les rails sur sa courte pine, Cecilia se refuse toujours à lui. Le « BIG BOSS » comme on l’appelle déjà, perd effectivement son pucelage ce soir là, mais sans que personne, y compris lui, ne sache vraiment avec qui … pas avec sa femme en tout cas.

Alors que la france attend quand même un mot de son putain de président, il se retire en mode « j’m’en bats les couilles » sur le Yacht à Vinz. B., mais rien y fait, Cecilia A. ne veut toujours pas coucher avec l’un des hommes les plus puissant du monde … et pour cause, elle n’a jamais été avec lui pour ce qu’il a entre les jambes ni quoi que ce soit d’autre que ses thunes et son influence mafieuse.
Elle voulait simplement un sugar daddy a tromper discrètement avec des mecs bourgeois bohèmes plus cools et mieux gaulés que lui. Le monde est mal fait, si seulement les mecs classe avaient les thunes et le pouvoir, ça serait plus simple ! Les feux de la rampe rendent publique ses escapades honteuses et finalement elle préfère couper court à ce gros foutoir avant que le pays entier ne se rende compte de la grosse salope qu’elle est. Elle quitte Nicolas qui, pour sauvegarder son honneur, décide d’arroser de thunes la mannequin junky Carla B. , connue pour avoir sucé Mike Jaeggermeister et tout le gratin mondial. Il se dit que celle là, elle a l’étoffe d’une vraie épouse de roi … et qu’à défaut, au moins celle là elle sucera. Mais il reste tout de même lucide, devant la mannequin à demi consciente il pose ses conditions.

Nicolas S. – « Je lui ai dis qu’elle pouvait me tromper tant qu’elle le voulait, qu’il fallait juste qu’elle accepte de rester à mes cotés et que je lui donnerais tout ce qu’elle désire. Mais vraiment, il fallait qu’elle me donne des gosses et une vie de famille, au moins en apparence … j’étais cinglé … vraiment. Puis vous savez, elle a carrément fait une chanson MON RAYMOND et tout l’monde a cru que ça parlait de moi … heureusement que vous êtes des glands aussi, ça parlait juste de son coup du moment, c’te conne c’est limite si elle parlait pas de ses partouzes dans ses chansonnettes, sérieux j’ai halluciné, mais bon, ça a tenu bon, pendant un temps ».

Suite a un mandat bling bling anecdotique marqué seulement par des glapissements sur les plus discriminés, rappelant un peu les jappements de ADOLF H., Nicolas S. arrive en bout de course sans vrai recours pour prétendre a un second mandat … plus personne ne veut de sa gueule de cul, à part lui même, et la coke ne coule plus à flot sur son bureau. Son principal fournisseur, Mouammar K. a fermé le robinet et en représailles Nicolas S. envoi son assassin Bernard H. L. le tuer, ce qui contribuera à déséquilibrer une région du monde déjà plongée dans un chaos monstrueux depuis des décennies.

Lors des élections suivantes le socialissssss François H. lui met un gros combo mensonger à base de répéter « moi président » et dire derrière des promesses qu’il n’avait pas l’intention de tenir. Le cocaïnomane renâcle, s’effondre. Overdose … le mec le plus ridicule du pays passe devant lui et le renvoi au bas de l’échelle avec ses amis les merdes humaines.

Nicolas S. fera mine de vouloir s’écarter de la drogue et du pouvoir, mais rien y fera, il finira par faire un comeback en se prétendant changé mais en ne l’étant pas … puis se prendra une grosse mandale de la part de son propre camp où personne ne veut plus le voir … quelques comebacks échoués plus loin et la justice se mettant à sa poursuite, il se résigne enfin à voir la vérité en face … « il n’est vraiment qu’une grosse merde ». Et comme il doit bien se l’admettre, autant finir en tant que merde avec un dernier coup de pute au pays entier … le « S.THON » (mais c’est aussi une longue histoire).

L’un de ses fils, devenu dealer de drogue et d’armes aux states enverra en hommage à sa personne une petite photo pour dire combien depuis toujours Nicolas S. était destiné à être au service de la France … grande émotion quand on sait que ça vient d’un petit con qui est né sous sa gouvernance et était donc trop jeune pour vraiment s’en souvenir (quelle chance).
Rejeté de tous, épuisé … se sevrant difficilement de la poudre … l’homme épuisé se lève, urine dans un verre et se met à le boire devant nos yeux.

Nous le quittons en évitant de marcher dans ses crottes qui maculent tout l’appartement luxueux dans lequel il a trouvé refuge en attendant la mort … sur le pas de la porte il se retourne et nous interpèle … sa silhouette se découpant dans l’ombre d’un salon pompadour …

« Je sais que je vous ai dis que j’avais changé, je sais que vous ne me croyez pas … mais dites leur …………. dites leur que je vais revenir … meilleur … clean … un homme nouveau … dites leur que je ne vais pas revenir pour moi … je vais revenir pour la France … elle a besoin de moi … ».

Nous refermons la porte sur ce dément … pet à son âme.

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Dr Alanis Laros
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