Le président français Emmanuel Macron a pris tout le monde de court lors d’une allocution surprise. Lors d’une conférence de presse impromptue à l’Élysée, il a lancé un ultimatum choc aux Français : « Si vous me saoulez encore une fois, je démissionne. Voilà, c’est dit. »
Les journalistes, à moitié endormis après les excès des fêtes, ont eu du mal à croire leurs oreilles. Macron, visiblement agacé par le flot constant de critiques et de demandes diverses, a expliqué : « Je suis un homme tolérant, un homme de dialogue. Mais quand je suis réveillé à 3 heures du matin par un énième message de protestation sur Twitter, ou qu’on me reproche de ne pas avoir assez fait pour la pluie ou le soleil, ça suffit ! Je me retire si ça continue. »
Les tensions sont montées d’un cran après plusieurs semaines de polémiques sur les réformes des retraites, les grèves, et les demandes de plus en plus absurdes sur les réseaux sociaux. « On m’a demandé si j’étais prêt à subir un autre confinement pour permettre aux gens de finir leurs puzzles. C’est là que j’ai dit stop », a-t-il ajouté, visiblement dépité.
Les Français, eux, oscillent entre l’incrédulité et l’amusement face à cette menace. « Je l’aime bien, Macron, mais il faut avouer qu’il a un peu perdu le nord », commente un internaute, postant une photo de lui avec une pancarte « Macron, calme-toi, tu es encore jeune ». Les supporters du président ont pour leur part déploré l’absence de tact de certains opposants, qui auraient, selon eux, forcé la main de Macron à prendre une telle décision.
Des menaces aux airs de blague… mais jusqu’à quel point?
Certains experts politiques s’interrogent sur la véracité de cette menace. « C’est une tactique, évidemment, pour faire parler de lui. Il a toujours aimé l’art du grand geste », explique une politologue sous couvert d’anonymat. « Mais derrière cette blague, il y a aussi un ras-le-bol. Il semble épuisé par la pression constante. »
Un sondage réalisé dans la foulée de l’annonce montre que 47% des Français se disent prêts à « laisser Macron démissionner » si cela signifie « avoir un peu de calme ». Les autres, plus partagés, expriment des doutes quant à l’efficacité de cette stratégie.
En attendant, certains ministres ont pris la parole pour minimiser la situation, arguant que la menace de démission n’était qu’une « exagération » de la frustration présidentielle. « Le président, comme toujours, aime dramatiser les choses pour que tout le monde comprenne à quel point il est fatigué », a réagi l’un d’eux. « Mais il reviendra. Il reviendra toujours. »
Une nouvelle année sous haute tension
Quoi qu’il en soit, ce discours a mis un coup de projecteur sur la tension qui règne autour du gouvernement. Si Emmanuel Macron venait à quitter la scène, une autre question se poserait alors : qui prendrait le relais pour gérer les mécontentements incessants et la crise politique qui semble s’intensifier chaque jour?
La fin de son mandat, déjà marquée par des critiques acerbes de sa gestion de crise, pourrait bien prendre un tournant inattendu. En attendant, les Français se préparent à des mois d’incertitude, ne sachant pas si leurs appels incessants à l’action finiront par faire partir le chef de l’État… ou s’il tiendra encore le coup, armé de ses promesses et de ses ultimatums.
Note : Cet article est purement satirique et ne reflète en aucune manière une véritable déclaration d’Emmanuel Macron.