Il va sans dire que l’annonce a fait l’effet d’un véritable COUP DE TONNERRE dans le Landerneau des festivités abrahamiques !
Contrairement à la thèse communément admise, le véganisme n’aurait pas été créé par Donald Watson, co-fondateur de la Vegan Society en 1944 à Leicester (Grande-Bretagne). Ce dernier n’aurait fait que reprendre les thèses d’un obscur diététicien polonais du nom de Jakub Levi Łegumovżki (1845-1918).
C’est le Prof. Dr. Dr. Ricardo Virilos de l’Université Iolanda Gigliotti de Thessalonique qui a mis à jour le pot aux roses. Comme bien souvent c’est le hasard qui fut à l’origine de l’incroyable découverte dont il détaille les détails dans la revue « Astrovéganisme » de novembre 2019.
« Dans un livre de recettes en yiddish ! »
_ « Alors vous allez rire mais à l’origine je faisais des recherches sur l’innocuité du virus monocaténaire du groupe IV de la classification Baltimore en milieu semi-désertique lorsque je suis tombé, dans les archives de Poznań (Pologne) sur un livre de cuisine qui présentait les recettes d’un certain Jakub Levi Łegumovżki, diététicien agricole. En feuilletant le prologue du bouquin, dont le titre est « Weganizm i Okultyzm na Obszarach Miejskich« , je tombe comme deux ronds de flan du bord de ma chaise : le type précise noir sur blanc que l’objectif du véganisme (weganizmu) est de décribililisé décrébidilisé discréditer l’aïd el-kebir en proposant, en lieu et place du traditionnel mouton, des sacrifices d’asperges, d’aubergines ou encore de potirons ! »
Oui mais pourquoi ?
_ « Alors vous allez rire mais si l’on en croit l’introduction de l’oeuvre, l’objectif final est de discréditer une des principales fêtes de l’Islam en démontrant que le résultat d’un sacrifice auprès de Dieu est le même, qu’importe ce qu’on lui offre (mouton, chèvre, artichaut, endive, cacahuètes, pois chiches, bière, sac Chanel, etc.) .
Après la suite du texte est en yiddish, j’ai quelques notions de polonais parce que ça ressemble vaguement au tchèque et que ma mère vient de Prague, mais j’ai pris espagnol en seconde langue, avec Señora Renardo, je n’ai donc pas tout compris. «
Theodor Herzl cité à plusieurs reprises !
« Quoi qu’il en soit Theodor Herzl, le père du sionisme, est cité à plusieurs reprises et on sait de source sûre que Łegumovżki l’a rencontré en 1894 à Cracovie. De quoi alimenter les rumeurs de conjuration. On peut, je le crois, en conclure qu’il s’agit bien d’un complot judéo-sioniste dont le but secret est la destruction de l’Islam par l’anéantissement de l’un de ses symboles ! C’est très grave ! »
UNE CONCLUSION QUI FAIT FROID DANS LE DOS, des mots qui résonnent et claquent au vent comme autant de coques de noix dans la tempête judéo-végane, frêles embarcations en quête d’une grève espérée dont les contours flous demeurent cependant inexorablement invisibles.
Les détails de l’étude du professeur Virilos et de son équipe seront dévoilés le 15 novembre dans le numéro 19 d’Astrovéganisme, en vente chez votre marchand de journaux pour la somme de 17,49 €.
C’est pas donné, c’est vrai.
