Moqué des internaute, le Christ Cosmique, alias Sylvain Pierre Durif, semble pourtant dans le vraie lorsqu’il affirme bon nombre de choses…
La généalogie mérovingienne : la lignée existe bien
Une étude sérieuse, menée à l’HUG de Genève, et financée par un des mécènes secrets du Christ Cosmique, prouve qu’il existe bien une filiation mytochondriale entre Sylvain Pierre Durif et le roi Caribert II d’Aquitaine, qui a régné de 628 à 632. L’expertise à pu avoir lieu car une relique du roi (un doigt encore recouvert de peau) était conservé dans la Basilique Saint Romain de Blaye. Et le match génétique est bien là!
Le parallèle ne s’arrête pas là. Caribert fut écarter du pouvoir parce qu’on le considérait comme un « faible d’esprit ». Il n’y avait là qu’une manipulation de la part de son demi frère, le célèbre Dagobert, pour l’arracher du pouvoir. Il lui « céda » l’Aquitaine qui à l’époque était encore wisigotte – et donc ne représentais pas une grande menace – pour faire bonne figure et passé pour le « bon roi » que l’histoire officielle a gardée. A l’époque déjà, les complots allaient bontrain!
Ce qu’elle ne dit pas non plus, c’est que Caribert a été une inspiration religieuse pour les wisigoths – d’où la nécessité de les faire disparaître le plus vite possible – l’« invasion musulmane » en fut le prétexte. Comme on le voit sur cette anluminure, Caribert a participé au baptême de Sigisbert III, le fils de son frère.
Arrêtons nous y un instant. Tous le monde s’accordait, jusque là, selon la propagande datant du 19ème siècle, que Caribert était le personnage de droite. Mais réfléchissont un peu. Sigisbert était le fils de Dagobert, qui ne voulait pas que son frère soie représenté en roi, puisqu’il ne l’était pas, selon lui. Le personnage de droite est donc bien Dagobert, ce qui est logique, puisqu’il assiste au batême de son fils et successeur. le personnage de gauche est donc bien Caribert. Et on voit qu’il dispose… D’une auréole pleine. Hors, l’auréole pleine n’est pas l’apanage d’un saint : c’est le Christ qui en dispose, et lui seule.
Dernier fait troublant : le fils de Caribert, Chilpéric, serait mort sur ordre de Dagobert (complot, encore). Mais de nombreuses légendes locales, allant du pays basque jusqu’au Languedoc, rapportent que l’enfant avait été substituer par sa mère, et qu’il avait continué a prêcher la parole de son père. On peut retrouver trace de ces « légendes » dans la Charte d’Alaon. Caribert eu donc une descendance, parmi laquelle semble se trouver Sylvain Durif.
Abduction : reconnue par tous les ufologues, mais raillé quand il s’agit du Christ Cosmique!
Tout le monde se moque du Christ lorsqu’il évoque son aduction. Pourtant, tout ce qu’il évoque est cru par des milliers de personnes :
– la Vierge Marie n’est-elle pas adorée par des milliards de personnes à travers le monde?
– Une centaine de cas d’ovnis « couleur or » n’ont-elles pas été répertoriées par la CIA dans les années 1960 et 1970, comme on peut le constater dans les rapports déclassiffiés?
https://www.domaine.xz/web
– Les singes et les serpents ne font-ils pas partie des phénomènes obersvées lors de transes chamaniques à travers le monde, de la Sibérie au voudou des Antilles? (voir les livres : Les Appeleurs d’âmes : L’Univers chamanique des Indiens des Andes de Sabine Hargous ; Les Mystères du vaudou de Laënnec Huron, et Paroles de chamans (collectivité)).
– Aldebaran, où il dit avoir été abducté, n’est-il pas déjà présent dans de nombreux ouvrages, comme ceux d’Epicure, de Paracelse où de Lovecraft? Si tous ces écrivains en parlait déjà, n’est-ce pas parce qu’il y a une très bonne raison? http://lovecraft.wikia.com/wiki/Aldebaran
– Enfin, il existe un témoin visuelle, sa soeur! Si ce n’étais qu’une « hallucination », comment aurait-elle pu voir tout cela? Sans parler de tout ce que ces disciples ont pu voir!
Pierre Teilhard de Chardin à la rescousse du Christ Cosmique
Selon ce chercheur, le Christ Cosmique est le « point point Ω ou point Oméga ». Après l’aboutissement de l’évolution darwinique, et le début de la dégradation – passage de l’évolution positive vers la disparition des espèce – manifeste l’avènement d’une ère d’harmonisation des consciences fondée sur le principe de la « coalescence des centres » : chaque centre, ou conscience individuelle, est amené à entrer en collaboration toujours plus étroite avec les consciences avec lesquelles il communique, celles-ci devenant à terme un tout noosphérique. Pour faire plus simple, la présence du Christ Cosmique, le Melkisadoque, annonçant un nouveau départ amorcé le 21 décembre à Bugarrache, permet de mettre en lien les âmes, et facilite l’émergence de la « noosphère » que Sylvain Durit nomme « Elvita ».
Il est à noter que les travaux de Teilhard de Chardin furent publié en 1968, année de grands boulversements… Et année de naissance de Sylvain Durif…
Le schéma suivant parle de lui-même.
Pour prouvé nos dires, nous recherchons maintenant activement le Roumain qui fut celui qui reconnu Sylvain Pierre Durif. Un de nos correspondants au Québec y travaille de pieds fermes, après indications transmise par le Christ Cosmique qui refuse d’avoir à prouvé ses dires, mais qui accepte de nous aider dans nos recherches.