Face à une puissante vague d’incompréhension et d’indignation, les chercheurs de l’université de Cambridge Analytica viennent de sortir, ce 21 octobre 2018, une étude réalisant un Profiling des membres facebook bloqués par Gilles Dor. En réalisant cette enquête, ils ont découvert les dessous d’une affaire qui dépasse complètement la norme. Immersion.
Une véritable addiction au bloquage
En effet, l’étude nous révèle qu’entre 2014 et 2018, l’homme aurait bloqué pas moins de 882 millions de profils Facebook, dont la majorité n’aurait jamais interagi avec lui. On trouve parmi ceux-ci des caractéristiques et situations diverses : pages officielles, artistes, entreprises, clubs de sport amateur, personnes situées en Inde, en Afrique, au Canada… Un cursus terrifiant, qui soulève, selon l’étude, « de tous nouveaux horizons en matière d’addictologie, liés à l’émergence des nouvelles technologies de communication et de réseaux sociaux, faisant naitre à la fois de nouvelles solutions mais également de nouvelles problématiques ».
Obligé de changer de nom après s’être auto bloqué
Cette étude nous révèle également les motivations, tant méconnues, du changement de nom de l’artiste-arrangeur-musicien-réalisateur-poète. Autrefois connu en tant que Gilles Langoureau, il s’est ensuite fait connaitre en tant que Gilles Dor sur les réseaux sociaux aux cours des dernières années. La raison de ce changement nous parvient enfin aujourd’hui : En 2015, l’homme, pris par un coup de sang, aurait réussi à modifier les paramètres de Facebook et à se bloquer lui-même. Étant dans l’incapacité de retrouver son identité depuis, il a donc été contraint de la modifier, lui permettant par ailleurs de choisir pour ses fans un nom moins boloss.
Depuis sa mystérieuse percée dans l’algorithme de Facebook, toute personnalité bloquée par Gilles Dor se voit également être bloquée dans la vraie vie. En premier lieu sur la plateforme, les blocages effectués par Gilles Dor s’étendent ensuite à différents sites majeurs des administrations (sécurité sociale, préfecture, impôts, permis de conduite..).
Mark Zuckerberg, Gilles Dor et le trafic d’êtres humains
La disparition administrative totale de ces millions de personnes, selon l’étude, aurait en effet donné lieu à du trafic d’êtres humains. A ce sujet, Mark Zuckerberg a été accusé par la NSA d’en vendre des extraits à des trafiquants de divers continents, via un rigoureux système de vente en bitcoins : lente, indirecte et automatisée pour masquer les transactions. Ré-auditionné la semaine dernière par le sénat américain, Mark Zuckerberg aurait ainsi déclaré:
That bald dude Gilou doesn’t know shit about this. I don’t even know how he succeededly cracked our security. You know, he just created his facebook account for looking around hot college girls. I kinda like this guy.
Mark Zuckerberg serait ensuite parti sur un waveboard en faisant des doigts d’honneurs aux sénateurs.
Nous avons de notre côté tenté de contacter Gilles Dor. Il n’a pas souhaité répondre à nos questions. Il nous a également demandé si nous avions fait un don pour sa cagnotte et nous a ordonné de « remettre notre cam ». A l’heure actuelle, nous n’avons toujours pas compris ces propos. Si vous détenez des informations à ce sujet, ou connaissez quelqu’un susceptible d’en détenir, merci de bien vouloir contacter notre rédaction pour un témoignage anonyme. C’est d’une importance cruciale. Nous comptons sur votre solidarité.