CREEPY PASTA : LA DAME BLANCHE QUI TUA BOENBOTTES

Salut bande de sous merdes, Alanis Laros au rapport (sexuel, LOL) … anjourdui on va encore parler d’une histoire vrairidique étant donné qu’elle n’est pas arrivé à un pote mais à un type qui était bien plus que ça sur les internet puisqu’il s’agissait de BOENBOTTES … euseulélunik !!!

Artiste performer ultra puissant, il nous a malheureusement quitté le 12 octobre 2017 des suites d’un accident de la route sexuel. Alors je sais, y en a qui râlent … CES ISTOIRS C’EST FAUS CE QU’IL/ELLE RACONTE … ALANIS DIT QUE DES CONNERIES… gnagnagna … ben là ça vous la fous mal étant donné que si vous n’avez pas vécu dans une cavairne pendant les dernières années vous avez forcément connu ce génie de BOENBITES.
Ne me demandez pas comment j’ai obtenu ces précisions sur son décès, c’est un secret « MES PROPRES RECHERCHES »™ … bon en fait il se trouve simplement que lors de son décès Boenbottes était accompagné d’un excellent ami d’ami à moi. Une vague connaissance fabuleuse qui m’a raconté tout cela par le biais du téléphone arabe de 45 personnes qui ont toutes modifié le récit à leur sauce avant que je n’en fasse de même et blablabla.
BREF ! Cette histoire est donc plus ou moins vrai ! AS USUAL ! BON CAUCHEMARD.

LA DAME BLANCHE QUI TUA BOENBITTES

11 Octobre, Boenbittes est accompagné par Géraldine Messasmüller et Pascal Weissermann alors qu’ils rentrent du festival de la bottine ardente de la fistinière de Charleroi. Leur périple fut long et alors que Boenbottes, toujours serviable, raccompagne ses amis dans leurs patelins respectifs situés méga loin de chez lui, ils décident de faire une halte dans un motel craspouille en bord de route.
La « twingo Zx espace 12 » tunée à motifs nappe Tati que pilote Boenbottes fait crisser ses pneus sur le bitume craquelé du vieux motel mode 50’s à l’américaine sous un ciel grondant d’un tonnerre lointain (j’ai pas relu cette phrase, je sais pas si elle est très juste).

« é wala … nousomzarivé … cé boenbott… euUUUuuseulélunik … » laisse entendre le chauffeur d’une voix enthousiaste, sourire bienveillant sur sa tronche d’homme sans âge … mi quadra, mi enfant poupin et angélique.
Si Pascal, sur la place du MOOOOORT accueil la nouvelle avec un plaisir et soulagement, avant de déclipser précipitamment sa ceinture, d’ouvrir la porte et de filer d’un pas leste pour uriner abondamment à quelques mètres de là dans un pot de fleur de la devanture du motel où 3 plantes fébriles luttaient péniblement pour survivre … semblant lâcher toute espérance après cet ultime outrage … Géraldine, quant à elle, reste silencieuse, les yeux plantés sur le tapis de sol de caisse tout frippé et plein de poil de chien sur lequel reposent ses petites bottines dorées.

« é béééh … keusseupasti Géradine ??? … cé boenbot euseulélunik … savapa Géradine ? … je peu te fer un … lachédeubote si tu veu … » balance notre héros en jetant un œil dans le rétro-cabine, regard auquel elle répond en relevant deux yeux rougis par de chaudes larmes contenues avec peine.
Le silence est lourd de sa souffrance alors qu’au dehors fil le sifflement serpentin de l’urètre de Pascal et le gargouillis puissant de son jet sur la terre noire dans le pot noyé de sa pisse.
« Je suis désolée Boenbottes … ça ne me ressemble pas d’être abbatue comme ça, mais lors du défilé j’ai rencontré une voyante et je lui ai demandé notre avenir » soupire t’elle tristement.

« Hé béh kesséladi ? » Demande Boenbotte avec curiosité, ne lâchant pourtant pas du regard la silhouette de son ami qui pisse à n’en plus finir dans une délectation extatique contagieuse qui lui colle doucement le nécessaire pour effectuer sous peu un combo de sacrés lâchés de plusieurs pairs de bottes en live.

Géraldine qui contemple elle aussi le jet torrentiel continue du même ton morne.
« Elle a dit que notre aventure s’arrêterait brutalement et beaucoup trop tôt ».
Pascal relève sa tête au ciel et dans un grand soupire soulagé, sourire d’une oreille à l’autre, donne quelques coups vifs vers le bas sur son sexe pour en faire gicler les dernières goûtes sur les pétales beigeasse d’une marguerite à demi fanée dont l’oeil jaune respire la lassitude plus que tout être vivant sur ce globe ne l’a jamais exprimée.
Il s’apprête à rengainer quand un pet tonitruant lui échappe. « OUPS … excusez moi ».
Dans l’habitacle Géraldine pouffe légèrement d’un rire compulsif. Boenbottes trouve ça simplement normal.
« Elle a dit que tout prendrai fin sous 24H ».
Boenbottes se retourne sur son siège pour la dévisager directement et lui tint à peu prés ce langage.
« Mai sa cé normal Géradine … ans moin de vinkatreuuur … eu vou auré raménéchévou … céBoenbote … euseulélunik … ».
Elle secoue la tête, agacée.
« Tu ne comprends pas … passé ce délai nous ne nous reverrons jamais … elle ne m’a pas dit comment et pourquoi, mais nous n’allons pas simplement rentrer chez nous et reprendre nos vies normales … quelque chose de très grave va se produire ».

Boenbottes fronce les sourcils.
« é Kékiteu fé dir sa … ? … Dédicace poureuuuuu Norman … »
« Elle m’a fait tirer les cartes … j’ai tiré la carte de LA MOOOOOORT ».

Boenbottes écarquilla des yeux terrifiés avant de se ressaisir.
Pascal au dehors était toujours en train de laisser filer les dernières goûtes de son zob … sentant bien que dans sa tuyauterie s’agrippaient sournoisement quelques perliches jaunasses qui fileraient droit sur le fond de son calcif dés qu’il aurait eu le malheur de rengainer. C’était juste dingue cet état de fait de la nature, tu pisses mais t’es condamné à t’en maculer les fringues parce que cette connerie de bitouniou refuse d’expulser les ultimes gouttelettes en lieu consacré.
Il matait son zob pendant comme une musaraignes et le péron du motel.
Il avait pas trop fait gaffe à faire ça discret et l’envie passée ça le frappait soudain, qu’il aurait pu se faire voir … mais l’idée lui plaisait un petit peu. L’urine avait suinté de l’écoulement du pot de fleur et s’étalait maintenant sur le perron … merde, ça c’était pas prévu. En gros c’est comme s’il avait juste pissé par terre quoi … oups.
Comprimant sa vessie, un ultime jet fila sur la pauvre marguerite qui semble s’exclamer « PUTAIN ENCORE !!! », puis il remballa sa juteuse dans son calbar dont remontaient de vieilles odeurs de sueur et de couille crade en scrutant vite fait le parking alentour … et c’est là qu’il la vit. La silhouette diaphane d’une jeune femme sublime au regard sévère … silencieuse, presque planante, drapée d’un voile translucide sous lequel transparaissait son physique plantureux et spectral.
Elle avait la même expression que cette petite fleur imbibée de sa pisse, la même couleur beigeasse … un fort sentiment de culpabilité serra sa poitrine alors qu’il remontait sa braguette dans un ZIIIIIIP caractéristique.

Dans l’habitacle du véhicule Boenbottes se voulait rassurant.
« écout jéradine … ona pasé une bèjourné … raiston sur u note poziti … on va s’instaé et passsai u supésoaré … je vé te fer u dédicass … cé boenbottes, eu seulélunik !!! … boenbottes ».
Elle acquiesçait péniblement … elle ne voulait rien d’autre que le croire, quelque chose au plus profond d’elle même s’y refusait avec acharnement.
« eu paraNorman sa nexist pa Géradine … cé que dan lé cinéma ! ».
Ces derniers mots de son mentor la rassurèrent quelque peu … si lui le disait, ça devait être vrai … ET BEN FAUUUUUUUUUX !!! VU QUE LE PARANORMAL çA EXISTE !!! Mais ça elle pouvait pas le savoir … puis là je spoile un peu.

Pascal ouvrit la porte.
« PFOUUUU désolé hein, ça pouvait plus attendre là ».
« On a vu ça » lâcha Géraldine en tentant de reprendre ses esprits.
« Bon mais alors, il se passe quoi ici ? C’est quoi ces messes basses ? C’est le dernier salon où on cause ? Vous avez l’intention de camper dans la caisse ? Allé hop hop hop, on se réveille là ».
Frappant dans ses mains maculées de pisse il les sortit de leur torpeur et ils s’activèrent pour s’enregistrer et se prendre une piaule.

Le veilleur de nuit à la mine patibulaire de Lurch de la famille Adam’s les guida vers la chambre 13 en grognant de sa voix caverneuse.

« Il ne restait pas d’autres chambre … celle-ci est très bien mais elle est un peu maudite … on raconte que des gens ont été assassiné et violés et sont morts dévorés par des loups garous ou ont été tronçonnés avec des scies circulaires ou tranchés avec des couteaux géants dans cette pièce … les derniers occupants ont disparu … certains auraient été enlevés par les martiens … aucune personne qui ai séjourné ici n’a survécu pour raconter son histoire … mais bon, je dis ça … étant donné qu’aucune n’a survécu, ben justement on peut pas savoir si les rumeurs sont vraies. A mon avis c’est faux, je crois pas au paranormal de toute façon hahahaha ».

Effrayée, Géraldine ne put s’empécher de l’apostropher.
« N’empèche que paranormal où pas, les gens dont vous parlez sont tous morts ! ».
Il haussa les épaules.
« Oui bon, ça madame, ça veut rien dire … vous avez tous les jours des gens qui meurent, c’est peut etre juste un malheureux hasard, même si à priori les morts de ces gens ont toutes été dés le lendemain de leur séjour dans la chambre et confirmaient plus ou moins toutes les hypothèses et rumeurs, et que certaines avaient eu lieu dans la chambre même … genre la personne tronçonnée à la scie circulaire … mais bon … je suis un zététicien rationnaliste et je refuse de croire que ce genre de choses aient pu se produire pour des motifs inexpliquables par la science et les connaissances de l’homme … par exemple je refuse que 1+1 puisse valoir 1 comme le pensent certains libre penseurs alternatifs qui ont le droit de penser ce qu’ils veulent et qui ont peut etre raison de remettre en cause le système … je ne suis pas de ces gens là … je préfère me fier à la science et ne rien croire hors du cadre et des limite de cette dernière, bien qu’elle ne soit pas fixe, évolue sans arrêt et que tous les jours des machins qu’elle démontre soient signalés comme faux, erronés, et qu’on ne puisse en fait pas lui faire confiance parce qu’elle a été inventée par l’homme et que l’homme est faible et prompt à faire des erreurs et qu’il est donc stupide de baser tout son savoir sur ses affirmations au lieu de ce que nous laisse penser la nature par intuition, en raccord avec des sens plus profonds de l’être humain et sans doute une force magique et divine qui nous habite tous et que chacun appelle a sa manière (parfois Dieu) mais qui dépasse notre simple condition de mortel … je refuse de croire à ça, car j’ai un esprit Cartésien … hahaha ».

Elle était un peu rassurée car elle aussi pensait de cette manière … mais là, quelque chose lui disait qu’elle se trompait salement.
L’homme ouvrit la chambre … rien à signaler, une chambre parfaitement ordinaire, malgré les impacts de balle dans l’un des murs, les traces de tronçonneuse, de nombreuses traces de sperme, le drap douche déchiré avec un couteau dans le fond et une baignoire remplit d’acide.

« Ha y a une douche ET une baignoire » s’extasia Pascal !!!
« Oui … désolé pour les quelques babioles en désordre, je vous arrange ça tout de suite ».
Le gardien vida la baignoire d’acide, enleva le couteau puis souhaita une agréable nuit au trio.

La porte était à peine fermée que Boenbottes dégaina le mousseux d’ont ne sait-où.
« Vous savé ce ki nou restafèr les amis ! CHAMPAILLNE ».

POP, le bouchon s’envola et il remplit cash 3 flutes qui s’enchainèrent alors que Pascal faisait péter la sono, sortant tous les teubs de l’été des 30 dernières années, à commencer par « Partir un jour » des 2be3 qui était curieusement de mauvais augure ce soir là.
Faire ainsi la fiesta avait redonné du bomocoeur de Géraldine et c’était tout ce qui comptait pour Boenbottes qui avait pour unique mission dans la life de rendre ses potes heureux (enfin à coté de sa mission d’être un pervers masturbateur devant l’éternel). Dans ce motel de l’amour, personne dans les chambres voisine n’eut l’idée de déranger cette fiesta, car en fait en tendant l’oreille légèrement on comprenait bien que c’était la fiesta orgiaque de partout vu les bruits d’orgasme et les hurlements de chèvre qui se faisaient entendre.

La nuit avançait, et après des heures à se dandiner en tombant la chemise et en picolant, se retrouvant finalement tous nus à l’exception de bottines sensuelles, l’inéluctable pontait le bout de son nez dans la chambre qui n’avait qu’un seul lit, ils tombaient de fatigue.
« Bon alé … éleur de se coché … » dit Boenbottes d’un ton paternaliste « eu vou laiss le li si vou voolé » poursuivit-il en se dirigeant, nu, botte dressée sur le sexe, vers un fauteuil.

Elle l’attrapa par la botte.
« méanfin Géradine !!! »
« S’il te plait Boenbottes, j’ai besoin que quelqu’un me rassure. 
Boenbotte jeta un regard à Pascal … comme pour signaler qu’elle pouvait se réfugier dans ses bras à lui. Pascal fit tréssauter ses surcil avec la malice d’un Bugs Bunny en rut en retour. Elle ajouta, en insistant lourdement.

« J’ai besoin que QUELQUES UNS me rassurent ».

Boenbottes baissa les yeux sur sa botte dressée. Puis acquiesça discrètement. Elle l’embrassa et lâcha le bout de sa botte, puis se dirigea comme une princesse vers les draps maculés de sperme du grand lit king size dans un instant suspendu et silencieux qui laissa Boenbottes et Pascal muets d’admiration. Sa chevelure sombre coulait sensuellement sur ses épaules alors qu’elle se plaçait entre eux sur le lit, chacun de part et d’autre. Ses bottes cuissardes remontant très haut à mi cuisse appuyaient la sculpturalité de son jeune corps faussement fragile.
Elle avait gardé quelques signes de son adolescence passée dans le tracè de sa musculature douce et féline. Il y avait dans le roulement sensuel de ses hanches, comme une invitation effrontée à une pénétration brutale. Le relevé du galbe de son cul au dessus de ses cuisse vives, dressait haut un sexe et un trou du cul rieur, ouverts dans un appel à la baise qui semblait presque soupirer d’impatience.
Son échine tirée sur un corps fin, cambré au dessus de seins fermes aux tétons pointés, ondulait déjà doucement du plaisir à venir, alors que ses épaules maintenaient sa bouille transformée par les circonstances. La fille craintive avait cédé sa place à un animal en chasse, ici c’est elle qui régnait … pas ces deux soldats au garde à vous, muets comme des carpes.

« Messieurs … c’est à vous de voir … ».

Pascal et Bo échangèrent un regard gêné … le silence se fit … Géraldine patientait.
« Je heu … »
Pascal faisait des signes discrets à Bo pour lui demander quel côté il sentait le plus d’attaquer, sans vraiment oser le dire. Bo répondait par des raclements de gorge et des mimiques pour lui céder la priorité, mais Pascal incistait, devant quoi Bo incistait aussi … mais Pascal encore plus avant de lâcher.

« Nan mais vraiment t’es certain … parce que moi ça me dérange pas de … ».
Bo agita l’index pour dire « non non » puis il commença à contourner le lit pour prendre la place de Pascal … qui finalement lui dir « Nan mais en fait je crois que je préfère … ».
Bo haussa les épaules, puis repartit de son coté, vers le cul de Géraldine.

Pascal coté tête grimpa sur le lit douillet sentant la lessive bon marché et tout de même tacheté de traces immortelles, tendant son sexe en avant vers Géraldine qui releva dessus ses doigts fins. D’un geste de tête elle secoua ses cheveux pour bien les dégager de son ouvrage et leva deux yeux bienveillants sur le visage de Pascal qui révélait soudain une inquiétude toute enfantine. Elle lui sourit comme pour lui dire « ça va aller », alors que Bo qui avait grimpé doucement, attrapait les petites fesses blanche de la jeune femme de l’autre coté.

Pascal devinait sa silhouette découpée devant la fenêtre au travers de laquelle filtrait les lueurs de l’éclairage du Parking. Il semblait ne pas vraiment savoir comment enfoncer sa botte de pêcheur dans l’un des trous de la donzelle et marqua de plusieurs empreintes de botte les fesses de la jeunette à peau de bébé.
Les stries rosées en forme de semelle s’accumulaient sur le cul laiteux et en désespoir de cause il retourna la botte pour en pointer le pied vers le bas et plaqua son plastique rigide entre les jambes de Geraldine, contre son ventre et entre la naissance des grandes lèvres de son sexe pour qu’à défaut de mieux, elle puisse sentir le frottement rugueux sur son clitoris lors des va et vient délicat qu’il entama un peu contre son gré.

Elle sentait le caoutchouc raper indélicatement sa féminité … ça faisait presque mal, mais elle aimait ça … avec cette sensation virile elle imaginait la fraîcheur odorante de la rosée en bord d’un lac embrumé à l’aube … un beau et jeune pécheur américain à mâchoire carré de quarterback, nu, musclé et doté d’un petit sexe mignon, affublé de ses cuissardes, cherchant un point idéal entre les roseaux, accompagné du clapotis des eaux et du chant du merle. Jetant sa ligne haut et loin, dans le zip vif de la canne à pèche fendant l’air avant que sa mouche ne tombe à l’eau dans un « POUIC » délicat et qu’il ne reste là, longtemps, dans la fraîcheur et le silence, à sentir les premiers rayons chauffer son corps, voir danser les moustiques sur l’eau et bander rudement dans la quiétude matinal de l’aurore.

Dans un souffle elle engouffra la verge turgescente de Pascal, son gland boursouflé venant frapper loin dans sa bouche, sans la moindre forme de préavis timide … sans léchouilles et baisers, elle avait besoin de sentir ce membre chaud profondément en elle, jusqu’aux portes de son oesophage, là, tout de suite, MAINTENANT.

Boenbottes qui frottait jusque là sans grande conviction, obnubilée par son plaisir à elle au point d’oublier le sien, fut subjugué par la jouissance soudaine et brutale de Pascal qui ne s’attendait pas à ce qu’elle commence sa fellation avec un tel appétit. Il se cambrait tête relevée au plafond, les yeux révulsés, manquant de laisser échapper son âme entière dans un soupir divin.
L’érection de Bo se raidit et il accéléra ses va-et-vient en laissant échapper des grognements d’autistes, quelques mots inarticulés se cachaient sans doute dans ses éructations, mais déjà qu’on le comprenait pas à la base … vous pensez bien que dans ce contexte les chances étaient encore plus minces.

Pascal regardait aller et venir la tête de son amie comme un fourreau sur sa verge. L’ondulation légèrement décalée de ses cheveux soulignait encore l’improbable et délicieuse situation alors qu’il pensait malgré lui au fait qu’il ne soit pas célibataire, ai même des enfants, et n’en ai jamais rien dit à ses deux compères avec qui il partageait cet instant. Il pensait à sa fille jouant sur le tapis du salon, concentrée sur ses jouets colorés, et qui venait presque machinalement enlacer ses guibolles à son retour du boulot. Ses « papa je t’aime » semblaient si lointain alors que dans le même temps il savourait la sensation de la langue de Géraldine sur la longueur de son zob et réfléchissait avec une certaines inquiétudes aux spécificité de transmission des MST.
Chlamydia, gonorrhée … Sida … la beauté et l’extase de l’instant se conjuguaient avec cette peur et le constat qu’il aurait suffit d’un moment de prudence il y a quelques secondes pour se préserver de ces angoisses.

Il lui faudrait réfléchir à une solution plus tard … ou cacher la chose à sa femme en prenant le risque qu’elle ne soit elle aussi contaminée, ne comprenne sa tromperie et lui en veuille encore plus de ne même pas l’avoir protégée elle … et …

Géraldine essouflée régurgita sa longue demi molle du fond de sa gorge, toujours connectée par un long filet de bave morveuse. Elle tirait dessus fébrilement, tout le bas du visage gluand de sa propre salive et leva des yeux inquiets sur Pascal.
« Ben alors ? Ça ne te plait pas ? »

Pascal reprit ses esprits.
« Si si … c’est très bien … désolé je … je sais pas ce qui se passe ». Il tenta de masturber sa bite pour la rallumer comme un bucheron allume sa tronçonneuse, le tout devant les yeux suspicieux de Géraldine qui aggravait malgré elle la situation. Bo restait à l’ouvrage de son coté en enchaînant les petits soupirs, Pascal cherchant à fuir les yeux accusateurs de Géraldine lui fit signe.
« On échange ? »
Bo n’y prêta garde.
« Bo … on change de position ? »

Boenbotte sembla sortir de sa torpeur. « Heuu … situveu heuuu … boenbottes … une dédicace pour … PASCAL … c’est de la … dinamit ».

Ils switchèrent de position, en le croisant, Bo sentit par télépathie le malaise profond de Pascal … il avait pas mal bourlingué et cette mollesse doublée de cette expression navré n’avait pas de secrets pour lui. Il effleura d’une main complice le bras de Pascal qui comprit immédiatement sa compassion en le voyant passer botte dressée … car c’était ça aussi BOENBOTTES … pas juste un rigolard et mec au coeur sur la main … aussi un type profondément humain sachant regarder au plus profond de l’âme de chacun et l’apaiser tel un baume homéopathique à la fleur d’oranger.

Bo plaça sa botte devant le visage de Géraldine qui s’en lécha les babines et lança un clin d’oeil à Pascal qui s’installait de l’autre coté.
« Ava alé ASCAL … ava alé … »

Ces paroles délicates et pleines de sagesses agirent comment un vaccin magique sur la libido de Pascal … son sexe s’illumina d’une douce lueur sous une pluie de perlinpinpin localisée et magique qui rendait des HP à son pénis … il comprenait sans peine que Bo était à l’origine de ce miracle et même qu’il devait lui en coûter à lui, personnellement, de ramener ainsi sa bite à la vie.

« Azy Ascal … ai papeur … tir desu pouvoar »

Pascal saisit son pénis juste au dessus des couilles, l’agrippa fermement et le tira de tout son long, seulement pour le voir s’étendre et se dresser comme une flèche, gardant la forme allongée qu’il lui avait ainsi imprimée. Bo sourit et refit un discret clin d’oeil à Pascal émerveillé pour qui il n’était plus maintenant question de penser à sa smala de merde qu’il fuyait de toute façon pour redevenir l’homme qu’il avait sacrifié pour sa vie familiale naze.
Rien que diriger son chibre vers le con humide de Géraldine était à cet instant un plaisir. La lueur qui s’échappait de sa pine éclairait le fondement de la miss alors qu’il frottait son gland luisant entre ses grandes lèvres … puis ce fut la glissade en avant … la petite bousculade du début de la pénétration, petite douleur, puis le plaisir égoïste de l’intrusion dans un corps complice qui vous demande de lâcher prise et de le saccager.
L’adrénaline lui montait au nez, il serra fort les hanches de Géraldine et lui frappa fort la fesse droite dans un clac suivit d’un gémissement plaintif de la miss qui résonna comme le top départ des choses sérieuses. Il défouraillait la bougresse qui se montrait réjouie de pouvoir faire entendre ses couinements de belette en chaleur à tout le voisinage alors que le gland rigide brossait en profondeur les aspérités des parois internes de sa moule. Frappant bien au fond, tout en laissant à l’opposer les couilles battre sur son bouton sensible. Le ventre de Pascal tapait sur ses fesses dans un ploc ploc s’accroissant au fur et à mesure que leurs corps se couvraient de sueur. Bo souriait devant le spectacle alors que Géraldine suçait le bout de sa botte en soupirant rapidement, plongeant sa langue dans les rainures de la semelle … l’empathie de Bo était telle que même s’il ne sentait rien … voir la botte subir de tels outrages exprimait en lui la sensation exacte qu’elle devait ressentir, comme s’il fut doter de neurones miroirs de bottes.

Il extirpa alors son pénis de la botte que la féline continuait aveuglément à dévorer, la secouant de part et d’autre comme une lionne déchirant le torax d’une gazelle, en grognant de rage et de plaisir tandis que l’autre tolchoquait le fion de la miss comme un marteau piqueur. L’expression plissée dans l’effort, la langue pendant, léchant sa propre sueur salée perlant de son front.
Ça commençait sérieusement à sentir le vieux Fennec dans cette pièce, Bo reculait doucement en dessinant un « cadre » de cinéma avec ses mains, au travers duquel il regardait et admirait ses deux amis, perdu dans la jouissance … il sentait venir l’instant précis de leur orgasme, un orgasme qui allait être conjoint, synchronisé … sublime.
Il restait silencieux, ému, ébahit, comptant mentalement les secondes restantes de leur chevauchée fantastique alors que Géraldine criait de plus en plus et que Pascal soufflait comme un cheval. Le lit entier remuait, grinçait, une lampe de chevet tomba.
« Oh oui … oh oui !!! FAIS MOI JOUIR !!! FAIS MOI JOUIR » braillait-elle comme une démente.

Boenbotte sentit par télépathie le point de non retour du pénis de Pascal, la sensation électrique de la cartouche de sperme enclenchée dans le zob, l’imminence du décollage, l’instant furieux où l’homme se bat en lui pour retarder encore d’ultimes instant le crachat délicieux.
C’est l’instant que Bo choisit pour parler.
« é manan les amis … dédicass de boenbottes ».

Et de sa bite, un jet scintillant, chaud et abondant d’urine partit en arc de cercle asperger le couple en pleine jouissance sur le lit … se fracassant d’abord sur le visage aux anges de la miss, réjouit par cette surprise qui décuplait encore son orgasme animal, la faisant littéralement hurler d’une onde de plaisir de castafior qui fracassa toutes les vitres à des kilomètres à la ronde, avant que le jet ne remonte sur son dos, puis le torse et enfin la bouche de Pascal, paralysé dans une secousse jouissive comme sur une chaise électrique d’amour, et qui laissa entendre le HANNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN le plus caverneux, profond et saturé d’infrabasse que l’univers n’ai jamais entendu … la détonation de son orgasme frappant dans une réaction en chaîne toutes les couilles et les chattes alentours qui jouirent malgré elles dans un orgasme simultané de dizaines si ce n’est de centaines de créatures vivantes.

La vie, dans son bonheur le plus brut … sa joie simple, son expression suprême.
Nos deux tourtereaux s’effondrèrent paisiblement, dans un quasi coma les immobilisant dans un sommeil profond immédiat, et Bo sauta sur le lit pour finir ce qu’il avait commencer, en leur pissant vite encore un peu dessus à chacun avec tendresse et en secouant ses dernières goutes peinard en regardant par la fenêtre de la chambre où il avait clairement vu la dame blanche … l’air sévère, qui avait regardé tout ce spectacle sans mot dire.

Il murmura à l’oreille de ses deux amis en état de « gise morte » :
« fézé de bo rev, profité la vi, soyé eureu ».
Remit sa botte en place … et sorti faire face à son destin.

A l’aurore du 12 octobre, un voisin vit Bo nu sur le parking, seulement affublé d’une botte dressée. Il monta dans sa bagnole qu’il manœuvra entièrement à l’aide de sa botte qui semblait non seulement tenir toute seule, mais en plus pouvoir bouger de son propre chef. D’aucun disent que cela ne pouvait être que l’oeuvre d’un magicien. Il parti sur la route et prit en stop un jeune hippie qui traînait par là … parce que bon … il était pas foutu de dire non à qui que ce soit tellement il était sympa.

Il racontait sa nuit d’amour à ce jeune hippie quand ce dernier lui fit remarquer la présence d’une jeune femme sur le bord de la route. Une dame plantureuse et translucide au teint spectral, enrobée dans une toge transparente laissant deviner son corps superbe et qui faisait du stop.
Bo ne voulait pas la prendre mais le hippie incista en précisant qu’y avait peut etre bien moyen de la jouer finaude.
Bo fit mine de ne rien entendre, mais 200m plus loin elle reparut devant eux … le hippie n’en croyait pas ses yeux et incista … Bo refusa … mais 200m plus lui elle reparut devant eux … le hippie n’en croyait pas ses yeux et incista … Bo refusa … mais 200m plus lui elle reparut devant eux … le hippie n’en croyait pas ses yeux et incista … Bo refusa … mais 200m plus lui elle reparut devant eux … le hippie n’en croyait pas ses yeux et incista … Bo refusa … mais 200m plus lui elle reparut devant eux … le hippie n’en croyait pas ses yeux et incista … Bo refusa … mais 200m plus lui elle reparut devant eux … le hippie n’en croyait pas ses yeux et incista … Bo refusa … mais 200m plus lui elle reparut devant eux … le hippie n’en croyait pas ses yeux et incista … Bo refusa … mais 200m plus lui elle reparut devant eux … le hippie n’en croyait pas ses yeux et incista … Bo refusa.

Finalement, après une dernière apparition il accepta avec agacement.
La dame Blanche montit.

« Ben dis donc, j’ai cru que j’allais y passer toute la sainte journée » vociféra-t-elle.
Le hippie était aux anges et cachait mal son hilarité ainsi que son érection.
« Mais madame, comment vous avez fait pour vous téléporter comme ça chaque fois en avant ».
« Bah je suis une dame blanche quoi, bordel de merde, j’apparais où je veux ».
« Ha mais dans ce cas pourquoi vous faisez du stop, ça vous sert à rien … si vous voulez rentrer chez vous, vous avez qu’a vous y téléporter non ? »
« Je ne suis pas là pour ça … jeune mortel ».
Elle renvoya son regard à Bo dans le retro-cabine, il l’observait depuis un moment en conduisant imprudemment sans regarder la route du coup.

« Attendez, je ne comprend pas … vous n’êtes pas là pour ça … mais alors pour quoi … puis pas là pour ça alors que vous faisiez du stop, mais ça ne veut juste rien dire ! Vous êtes barge ou quoi ? ».

Elle ne lui répondait pas, le hippie poursuivit.
« J’étais là avec mon pote Bo et on parlait de la possibilité de vous prendre à deux sur la banquette arrière, je vous imaginait déjà allongée avec genre chacun dépassant d’un coté de la porte et vous en train de couiner au milieu alors que toute la carriole ballotte dans tous les sens … mais là vous avez cassé l’ambiance … c’est quoi l’délire ? C’est quoi ton problème ? SALOOOOPE ».

A ces mots elle lui jeta un regard sombre, ses yeux disparurent de leurs orbites, laissant entrevoir deux grands trou noirs, puis son visage sembla pourrir sur place et se changer en un crâne sinistre.
Le hippie, flippé, se retourna doucement vers la route.
« C’est bon … c’est bon … je plaisante … faut pas le prendre comme ça. »

La dame blanche posa une main sur l’épaule de Boenbottes et afficha une mine désolée.
« Ecoute Bo … ça n’a rien de personnel, je sais que tu kiffes la life, que t’es un mec bien, et je suis très impressionné que tu saches conduire avec la bite et sans regarder la route … mais comprend bien que l’heure est venue pour toi … fini les dédicace, fini la joie que tu donnais aux enfants et au monde … tu as toujours fais don de toi, mais c’est trop pour ce monde froid et sans pitié. Je suis venu ceuillir la fleur trop belle que tu es … je suis venu éteindre le phare dans la nuit, je suis venu laisser les hommes à leur devoir, sans la protection de l’ange que tu es … le monde doit apprendre à vivre sans toi ».

Bo soupira. Il arrêta la voiture et fit signe au hippie de se barrer.
« Arde la pèsh monami ! » Lui lança t’il tristement. Le hippie serrait les lèvres, navré, les yeux perdus dans des larmes naissantes, fuyant le dernier regard d’un homme d’une bonté infini … un ultime regard dont la bienveillance condamnée était trop triste à soutenir. Il lui fait un dernier « check bro » alors que la dame blanche méprisante venait s’installer sur LA PLACE DU MOOOOOOOORT à sa place.
Il regarda le véhicule s’éloigner, en voyant bien au travers de la vitre arrière la silhouette de la dame blanche qui se penchait sinistrement sur la verge de Bo dans une fellation finale et mortelle.

Le véhicule et son chauffeur étant maintenant débottés … partant sans contrôle et à une allure grandissante vers une falaise au devant. Dans un ralenti avec une musique triste, que c’était la piste « WHAT DO YOU SEE » de l’ost du film SUNSHINE.
Le hippie voyait la twingo motif nappe Tati tunée foncer vers le jour. Bo regardait en avant, le soleil se lever à l’horizon, toujours plus haut, plus loin, plus vite, jusqu’au bout de l’extrème limite, alors que le spectre plantureux plantait sa gorge encore et encore sur son sexe, sans un mot, dans un silence macabre et le ronflement du moteur.

Elle redressait d’un doigt délicat ses cheveux pour les dégager de devant son visage et sa bouche qui coulissait comme un piston sur l’énorme verge de notre ange. Bo vit la glissière de la route arriver devant le véhicule, il ferma les yeux, et tout ne sembla plus être que silence.
Les yeux du hippie coulaient de larmes, son expression restait digne. La glissière se rompit dans un choc sans bruit et le véhicule quitta la route, s’envolant dans la brûme … élancé dans les volûtes, survolant les arbres, se noyant dans la blancheur infini d’un brouillard soudain dévorant le véhicule tout entier.

Devant les yeux du hippie la Twingo Tatie disparue intégralement … sans un son … sans un bruit … et une colombe apparue, une colombe phénix de paix, d’amour, de renaissance … de joie infini … comme un message … comme un dernier mot adressé à l’humanité.

ESPOIR !

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Dr Alanis Laros
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