CONTRAT A 240 MDS : TRUMP est arrivé à pied par la Chine

TRUMP CHINE XI JIPPING

240 Milliards de Dollars de contrats avec le Chine. Comment Donald Trump a-t-il réussi un tel exploit ? En arrivant à pied par la chine. Reportage :

« Baigneurs, admirez-moi ces cites ! »

Trump serait bien retourné chez lui en parachute, mais il voulait faire bonne impression. Traverser la Chine à pied et revenir chez lui avec des tonnes de dollars, il allait leur en mettre plein la vue à ses Fake News de CNN ! Mais  Il avait couru tant de buts divers, qu’il en perdait sa belle mine. Après un millier de kilomètre, cette pensée le hantait : « Si cette belle Line est déjà passée, que vais-je devenir ? ». 

En effet, pour parvenir au but il faut beaucoup de courage ! Rien que la grande muraille l’avait exténué, bien que le vieux marcheur veut courir sur le mont, pour Trump, l’épicurien se plaît à rechercher les sources du bonheur.

Il faisait beau et chaud pourtant dans le Xingiang, et de magnifiques rencontres ont ponctué son voyage. Comme ce vieux passeur à la mine fatiguée, voyant en Trump le grand magnat de l’immobilier qu’il était, lui indiqua le panorama et lui dit : « Les berges sont à vous ».

Les sites et les berges retrouvées, il en étudia tout le potentiel commercial. Il en conclu qu’il y avait là de jolis sites pour bâtir. Il voulait inviter son copain Shinzo Abe à voir ce merveilleux spectacle, mais il se rappela que la Chine se soulève à la vue des Nippons.

Malheureusement, de curieuses fouilles étaient à l’oeuvre sur ce terrain. En effet, Trump ne comprenait pas la méthode chinoise « Je ne suis pas homme à mettre le produit de mes fouilles dans des caisses« . Pour s’assurer de la qualité de leur travail, il visita les caisses de l’exploratrice jusqu’au fond. Une fois que son travail fut achevé, Ils n’avaient que de vieilles caisses pour ranimer leur feu.

Peu importe, Le gros entrepreneur qu’il était pétrit le béton à la tonne, il n’allait pas se faire arrêter par quelques misérables fouilles archéologiques !

Il était temps de rendre visite à son copain Xi Jinping pour parler affaires.

Nouilles cuisant au jus de cane

Quand il arriva à la table de Xi Jinping, il déclara : « J’ai admiré de jolis sites en faisant ma balade ».
 » – 
Effectivement, les gens de la campagne sont attendrissants, pour vous dire Il n’y a que la femme du meunier qui soit capable de bâter une mite »
– Moi je trouve que cette femme a l’allure douteuse… Elle en fait des chichis pour une pauvre mite dans sa botte !
– C’est parcequ’elle habite des gîtes immondes ! 
– Pourquoi ? On m’a dit qu’au pensionnat, elles ont toutes un toit pour se doucher.
– Elle m’a menti la sotte !
– Surement parcequ’elle a été souillée jusque dans la nuque !  »

Ils rirent de bon coeur, Xu tout de même temporisa : « Sachez camarade, que la grande galope seule. Ce qui n’est pas chose facile. Mais maintenant, Place au diner ! »

Trump lui fit remarquer qu’ils n’étaient que deux pour une si grande table. Xu lui répondit, « Il faut être peu pour bien dîner « 

La cuisinière faisait des nouilles auprès de mon feu. En attendant qu’elle eut fini sa préparation, ils dégustèrent un très bon vin Français.

 » – J’aime le goût de ce petit blanc. Dit Trump.  Après une gorgée, et un d’un air pénétrant il ajouta : C’est un vieux marc très doux
– Effectivement,  Ce pichet a une belle mine. »

Ils dégustèrent les nouilles. Trump qui avait parcouru des milliers de kilomètres à pied se délecta de ce breuvage, ce petit bouillon faisait la joie du corps. Il s’enfonça dans son gros fauteuil,  et pensa « comme les nouilles ramollissent dans le corps ! »

Faisant ainsi, il eut un geste maladroit et c’est Xu qui l’avertit : « Attention vous videz vos nouilles sur ma cape ! » Il pointa sa cape d’un geste bienveillant et autoritaire à la serveuse : « Allons, ma fille, essuie ça vite et bien. »

Ce n’est pas au pieu qu’est réservé le plaisir de diner.

Ils parlèrent affaires, de tout le potentiel de développement de la Chine. Ils parlèrent également des relations internationales : ces colonnes de gauchistes qui se branchent sur l’Irak, ces lobbys contre le charbon qui minent leurs projets de développement respectifs, et ces luttes perpétuelles qui épuisent la malheureuse Russie.

Ils s’entendaient à merveille ! L’accord était équilibré, et la relation détendue, quelle joie de se sentir quitte au but !

Il ne restait plus à eux deux de décider du choix dans la date – Mais Xu interrompit Trump qui s’apprétait à sortir son agenda :

« Monsieur, vous avez du feutre sur votre cou ! »

 

 

 

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