L’ex ministre de l’Économie et des Finances, Bruno Le Maire, a officiellement lancé aujourd’hui sa propre crypto-monnaie, le BrunoCoin, dans une conférence de presse déjantée où l’humour, les clins d’œil politiques et les promesses financières ont fusé. Alors que le gouvernement français cherche à se réinventer face à la révolution numérique, il a décidé de franchir une nouvelle étape audacieuse en lançant sa propre monnaie virtuelle.
« Un projet qui incarne l’avenir de la finance mondiale ! »
« Le BrunoCoin n’est pas seulement une crypto-monnaie, c’est un symbole du renouveau économique, une révolution à la française ! », a lancé Bruno Le Maire, arborant un sourire qu’il avait réservé jusqu’ici pour ses rencontres avec les grands investisseurs. « Nous ne nous contentons pas de suivre la vague, nous la surfons à toute vitesse. »
Selon les experts (à savoir un groupe de traders qui ont fait leurs premiers pas dans l’univers des cryptos en 2024), le BrunoCoin serait « le futur de l’économie mondiale », si l’on en croit les premières projections. En effet, chaque BrunoCoin est censé être adossé à la célèbre « valeur morale » de Bruno Le Maire : « transparence, rigueur et surtout… optimisme. »
Une ICO qui fait déjà le buzz
Le lancement de l’Initial Coin Offering (ICO) du BrunoCoin a dépassé toutes les attentes. En à peine 3 heures, la vente de 10 millions de BrunoCoins a été entièrement souscrite, ce qui a provoqué l’explosion des serveurs et quelques scènes de panique dans les bureaux du Trésor public.
« Les gens ont vu que ce n’était pas juste une crypto, mais un investissement dans la grandeur de la France », a précisé l’un des premiers investisseurs, qui a préféré rester anonyme par souci de modestie. « J’ai bien vu que ce n’était pas pour acheter des cafés à 3 € sur une terrasse, mais bien pour financer la relance de la nation. »
La technologie : une blockchain « qui parle le français »
La nouveauté majeure réside dans la technologie derrière le BrunoCoin. Le ministre a dévoilé une blockchain révolutionnaire, surnommée « La France en Bloc », qui permettrait aux transactions de se faire « dans le respect des valeurs républicaines » et d’appliquer une taxe de 0,02 % sur chaque transaction pour financer la culture et les loisirs en France. « Cela permet d’éviter les dérapages spéculatifs tout en soutenant la baguette, le vin et la haute couture, » a précisé Le Maire, en clin d’œil à la richesse culturelle française.
Le code de la blockchain, écrit en français, aurait une fonctionnalité particulière qui « réprimanderait » tout utilisateur tenté d’effectuer des transactions en dehors des principes éthiques français. Chaque erreur de transaction serait suivie d’une citation de Victor Hugo ou d’un extrait des discours de de Gaulle. De plus, une fonction baptisée « Honneur de la République » appliquerait des amendes automatiques aux utilisateurs « trop innovants », considérés comme des déstabilisateurs de l’ordre public.
Des partenariats inattendus
Si l’on pensait que le BrunoCoin ne serait qu’un projet au goût du jour, c’était sans compter sur les ambitions grandioses de Bruno Le Maire. Le ministre a annoncé, dans un communiqué, des partenariats avec des entreprises aussi diverses que le géant du luxe LVMH, la Société Générale et même… les boulangers de Paris. « Le BrunoCoin est la monnaie du futur, et il est essentiel qu’elle fasse partie de la culture, au même titre que la baguette et le camembert », a ajouté Le Maire.
Un accord avec les boulangeries prévoit même une réduction de 5% pour ceux qui paient en BrunoCoin. « Nous sommes ravis d’intégrer cette crypto-monnaie qui incarne le goût et l’authenticité française », a déclaré un représentant de la Confédération des Boulangers de Paris. « Un BrunoCoin pour chaque baguette, c’est le rêve de chaque boulanger. »
Un avenir incertain mais prometteur ?
Mais tout n’est pas rose pour le BrunoCoin. Quelques sceptiques mettent en doute la viabilité à long terme du projet, rappelant que la France a déjà essayé de moderniser ses finances avec des réformes plus ou moins réussies. « Si Bruno veut être aussi influent qu’un Bitcoin ou un Ethereum, il va devoir faire plus que distribuer des croissants », a commenté un analyste, qui a préféré rester anonyme pour des raisons évidentes.
En attendant, Bruno Le Maire, fidèle à son image de ministre pragmatique, reste optimiste. « Le BrunoCoin ne pourra pas être effacé. Il est comme la France : intemporel. »
Ainsi, alors que l’année 2025 commence, une question demeure : le BrunoCoin deviendra-t-il l’étalon du futur numérique ou une simple monnaie de plus dans l’histoire des rêves monétaires ? Seul le temps nous le dira. Mais une chose est certaine, la France a désormais sa crypto… et son ministre de la finance ne semble pas prêt à s’arrêter là.
À suivre sur vos écrans et dans vos wallet …