REVELATION: quel dinosaure avait la plus grosse teub

Il y a 65 millions d’années, Gérard T-Rex voit Gontrane, sa femelle à gros cul, s’allonger sur la plaine, écrasant au passage, avec indifférence, les ancêtres grouillants et chouinards de ce qui deviendra plus tard l’humanité.
Relevant son énorme queue en meuglant, écume suintant de sa gueule, elle dévoile une chatte grande et profonde comme un camion de déménageurs et dont les « petites » lèvres™, grandes comme des portes de penderie, se mettent à palpiter comme la collerette du dilophosaure™ dans jurassic park™.

Gérard, émerveillé™, sent l’afflux sanguin se mobiliser dans son bas ventre, une chaleur qui monte et l’enivre alors qu’un goût sanguin et bilieux envahit sa gueule pleine de crocs.

Sa tuyauterie émet des bruits d’égouts alors que la peau souple entre ses cuisses s’anime sous les convulsions d’un chibre/boa-constrictor™ cherchant à s’échapper. Un tentacule rose, lubrifié de liquide séminal, apparaît doucement sous son trou d’balle, s’extirpant dans un bruit de chasse d’eau d’une poche discrète avant de se tendre en laissant couler sur l’herbe des litres d’un pré-sperme mélangé à la pisse que le désir lui fait soudainement lâcher en masse pour humecter ses conduits.

Gontrane grogne d’impatience, un brame entre le cerf et l’éléphant. Ses pétales™ clappent dans le vent, tendus comme une bouche verticale dont les lèvres™ appelleraient avec désespoir à une succion impie, ivre d’un plaisir coupable.
Gérard manœuvre comme un camion en faisant trembler la terre pour se mettre en place au dessus du gros cul de la gueuz, puis il s’effondre en lui mordant la nuque, son chibre™ immense s’écrasant quelque part sur la fesse écailleuse de la miss avant de se déplacer façon trompe de pachyderme, tâtonnant maladroitement, comme prise d’une vie propre, pour chercher la gueule gluante de l’abysse d’amour, senteur ammoniaque.

Et soudain le gland, gros comme une pastèque, pousse dans le sexe mou et moite de la femelle, pour entamer son va et vient, faisant jaillir du con de la truie beuglante une mousse de cyprine nauséabonde qui gicle à gros bouillons à chaque coup de rein de la bête qui n’entrave plus rien et dévore à moitié sa conjointe dans l’extase la plus totale en agitant rapidement de haut en bas ses petits bras atrophiés avec délectation.

Plusieurs mètres en dessous une famille d’Ukhaatherium™ sorte de musaraignes merdiques ayant généré tout le règne des mammifères, observe la scène avec une terreur teintée d’incompréhension, alors que les énormes couilles boules de bowling™ du molosse se balancent et s’entrechoquent à chaque pénétration en émettant des claquements puissants comme le tonnerre.

Brisby, la petite femelle … observe ce bal sinistre au dessus de ses enfants en sentant venir une fin funeste, ses gosses pleurent, l’appellent au secours, mais elle ne peut plus rien faire, alors que Gérard barrit d’extase. Elle enserre ses enfants et leur dit d’une voix tendre d’Ukhaatherium™ un petit « scouic » pour leur dire « ça va aller »™, alors que d’un œil elle voit la verge immense de Gérard se contracter en faisant entendre des bruits de geyser.
Et alors que le tentacule s’extirpe du cloaque de Gontrane, Brisby ferme les yeux et serre fort ses enfants, tandis qu’un flot de gak spermatique s’échappe de la foune de la grosse femelle en pleine jouissance et qu’une trombe vient s’écraser sur la petite famille de rongeurs innocents dans un gros SPLATCH mortuaire.
Rest in peace !
UNE REPRODUCTION INEXACTE :

Ce récit impressionnant, rédigé par Hubert Reeves sur la base des dernières recherches dans le domaine, est très vrai sous plein de rapports, mais aussi très faux sous d’autres. Place à la science, MPR se devait de remettre les pendules à l’heure concernant la sexualité des sauriens. Le T-rex™ était-il si bien membré, et LEQUEL DES DINOSAURES AVAIT LA PLUS GROSSE BITE ?!

Mais avant toute chose … faisons nous encore un peu chier avec Hubert pour bien savoir comment ces cons de lézards sont tous morts avant de se changer en oiseaux ridicules.

Il y a 65 millions d’années le règne des dinosaures prenait subitement fin. Après avoir lâché d’énormes caisses en se comportant comme des ados fils de putes du 18-25™ pétant dans leurs chambres en jouant à Fortnite™, le bon Allah™ décida d’en finir avec ces sacs à merde à écailles et cette grosse écurie d’Augiasse™ qu’était devenue la terre en leur jetant à la gueule un météore incandescent, gros comme ta mère, pour cramer tout ça comme un gigantesque pet flambé.
La relève fut prise ensuite par les rats du fond des chiottes qui devinrent progressivement les humains et d’autres créatures à courtes verges. Nous entrions alors dans l’ère dite du Courpenisolitique™.
La fin des dinosaures™ fut donc surtout une tragédie en terme de tailles de zobs puisque la moyenne mondiale passa de plusieurs mètres à seulement quelques millimètres en un claquement de doigts, et 65 millions d’années™ plus tard nous n’en somme, toujours pas revenu (les éléphants et les baleines compensant mal le nivellement massif par le bas imposé par les chinois, les brésiliens et les pakistanais).

BREF™, ça déconnait pas niveau appareils génitaux du temps des dinosaures, ces sortes de dragons verts libidineux agitant leurs teubs turgescentes, balançant des hectolitres de sperme dans des chattes béantes. Quand ils baisaient, les brachiosaures faisaient trembler la terre. Leurs énormes couilles se fracassaient sur le pubi™ de leur partenaire comme des montagnes jetées les unes contre les autres.
Leurs immenses bites de plusieurs mètres balançaient des torrents d’une sauce blanche grumeleuse si abondante que les fonds marins et les cours d’eau en sont encore contaminés. D’ailleurs, on dit que la moindre goutte d’eau que vous buvez, a forcément, un jour ou l’autre, traversé le corps d’un dinosaure™ dans le passé … ce qu’on précise moins c’est de quelle façon elle en est ressortie.

MAIS BREF, on est toujours pas plus avancés !!!

QUI du règne des sauriens, avait la plus grosse.
Je sais que là vous pensez au T-Rex™ et à ses grosses burnes ou au Brachiosaure dont la tête est déjà plus ou moins perchée au bout de son sexe, mais soyons précis.
Une méthode d’estimation infaillible d’Hubert Reeves indique que si vous voulez mesurer votre bite™ vous pouvez prendre la mesure entre l’extrémité de votre index et le sommet de votre pouce quand vous les tenez le plus écarté possible en mimant la forme d’un gun. Il s’avère qu’à moins d’être Jamel Debbouzze, en général la mesure est assez juste.
De toute évidence cette méthode ultra précise nuit terriblement au T-rex™ qui, avec ses petits bras atrophiés à la con et ses minimes de moineau, ne risque pas d’aller bien loin.
Mais la donne est encore pire pour le brachiosaure qui ne dispose même pas vraiment de doigts, en somme, tout ça c’est que d’la gueule.

L’un des principaux dinosaures à grosse teub n’est autre que le Quetzalcoatlus, son envergure de 16m permet d’estimer la taille d’une sacré bite dont il se serait servi pour pécher les requins™ en la laissant tremper dans l’océan qu’il survolait lors de ses parties de pèche. Cette technique lui aurait également permit de pisser dans l’eau sans tout éclabousser, mais aussi de se rafraîchir le gland serreinement, par hautes températures, pour refroidir son corps pendant les longues traversées.

Néanmoins, c’est le compsognathus qui bat tous les records … car malgré sa taille, un fossile vachement bien conservé à permis d’estimer sa teub à 100m. La raison en serait toute simple. Dotée d’une toute petite gueule, il aurait par conséquent une très grande bite, comme par effet négatif du proverbe « grande gueule mais petite bite ».

Bon anyway, j’en ai marre de cet article à la con, je fais pas de chute, salut.

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Dr Alanis Laros
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