ISRAEL veut imposer une taxe TOBIN sur la concurence victimaire.

awschwitz-for-web-copyCoup de tonnerre dans le landerneau de la communauté organisée, Jacob HAYEK, le délégué aux relations publiques de l’UNESCO a annoncé qu’il avait favorablement reçue la requêtes des autorités israëliennes concernant la normalisation des réparations versées suite aux crimes contre l’humanité

« Nous avons tiré les leçons de la crise des subprimes et nous pensons qu’il est urgent de contrer la possibilité d’une concurrence victimaire sauvage et spéculative, qui ne manquerait pas de créer une bulle financière, puis son effondrement. Nous aurions alors à faire face à une nouvelle crise économique majeure. »

esclave-noirEn effet, le leadership israélien fait depuis peu l’objet de contestations de plus en plus vives de la part d’acteurs émergeant sur le marché de la mémoire victimaire. Fort d’une expertise éprouvée dans le domaine et plus que tout autre membre de sa corporation soucieux d’éviter le retour des heures les plus sombres de notre histoire, le lobby juif a donc décider d’abattre ses cartes et de proposer un compromis à ses concurrents et néanmoins partenaires.

« Nous sommes sincèrement émus de pouvoir remercier les juifs de nous avoir proposé une solution simple, immédiatement applicable et fondée sur l’équité. Dans leur grande magnanimité, les banquiers sionistes nous ont proposé des outils financiers capable de réguler le marché de la concurrence mémorielle. Il leur tient à cœur de rompre avec certaines idées tenaces concernant la captation du devoir de mémoire par la communauté israélite. »

HAYEK a insisté sur la bonne volonté évidente de Tel-Aviv.

« Ce sont les israéliens eux-mêmes qui ont insisté pour protéger durablement les communautés minoritaires des effets délétères d’un chantage à l’antisémitisme abusif. Ainsi, chacune d’elles pourra dorénavant légitimement revendiquer son statut de victime et se dédouaner de tout antisémitisme en versant un pourcentage de ses réparations aux victimes de la Shoah. C’est une solution pragmatique et motivée par la volonté de pacifier les débats. C’est là toute l’âme et le cœur de cette taxe TOBIN sur la concurrence victimaire. »

L’idéologue Houria BOUTELDJA, qualifée par Mathieu KASSOWITZ de « Louise Michel de la rue Myrah » a livré son analyse circonstanciée au micro de Frédéric TADDEÏ qui ce jour-là faisait ses propres recherches :

«Les feujs ont des idées. Nous ne leur avons jamais contesté ce fait. Grand bien leur fasse. Quant à nous, nous considérons que les souchiens peuvent collaborer autant qu’ils le souhaitent, cela ne nous fera pas changer d’avis : la concurrence victimaire n’est pas un problème en soi, mais elle le devient à partir du moment où une certaine communauté choisit de l’instrumentaliser dans son propre intérêt. »

Suivez son regard.

une mesure inspirée par le génial Amon TOBIN

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