Incendie de la jungle de Calais, Kémi Séba affronte Popobawa, le vampire suceur de culs

Dans la grande forêt, tout l’monde le connaît, oui c’est lui, Kémi Séba !


Fin octobre 2016 le guide de la revalorisation révolutionnaire de l’homme noir à l’expression perpétuellement navré face à l’horreur coloniale de l’homme blanc, ou « leucoderme », fils d’esclavagistes tacite (les leucodermes, pas Kémi), se rend dans les tréfonds de la jungle de Calais où, prétendument, un démon congoïd s’adonnerait à diverses pratiques que réprouve la morale, tant chrétienne qu’islamique, LE POPOBAWA, un vampire suceur de cul mettant à mal les anneaux postérieurs périno-rectaux de ses victimes prolétaires, toutes races confondues … j’entends par là qu’il (le démon, pas Kémi) les encule sans leur consentement explicite et structurel.

Détenteur du sachoir des anciens, il (Kémi) a dans son sang et dans sa chair la culture ancestrale des guerriers Sarakholé. Son esprit, comme le dit le poète Aimé Césaire, est comme un broc de sachoir recceuilli au contact des sages de la chaîne de l’Atacora au plus profond du Bénin traditionnel. Un sachoir qui mobilise la jeunesse africaine contre le franc CFA pour qu’on le lui reverse (le sachoir, pas le franc CFA) et qu’il permette l’autodétermination des peuples exploités des basses terres de la françafrique.
Un broc, donc, contenant les vérités mutiques d’une culture des premiers âges du monde et par extension de l’homme panafricain noir nigrudermes poly-ethnicisés dans une dynamique de souveraineté.

Celle là même (la culture) qui défie la présence du leucoderme souchien capitalisto-sionistophile conquérant, intrus dans un monde qui n’est pas le sien et dont l’essence véritable lui échappe sans cesse. Ce monde qui, au travers de la communauté de l’homme panafricain dans son ensemble, persiste dans les esprits noirs comme un signe d’une appartenance racialiste globale d’un ensemble negroïdo-genré à une même ethnie négro-congoïd-shamanique-panafricaine ancestrale qui, en réaction au délit de faciès perpétué par l’homme blanc qui verra toujours dans le noir un être soumis, un être devrais-je dire « de seconde zone » dans ses territoires occidentaux, amène l’individu racisé d’où de lui-même vers le repli identitaire de sa propre ethnie. Un repli non pas de rejet mais bien repli de dignité et qui s’opère spontanément dans la conscience dira-t-on « COLLECTIVE » et structurelle des opprimés, de façon naturelle malgré les ingérences barbares de la grande machine technocratiques autoritaires et l’industrie de domination américano-sionisto-francono-blegiono-esclavagiste des leucodermes babtou fragiles qui veulent plier le roseau de la conscience racisée et mettre à bas la liberté de l’homme noir où qu’il se trouve … et ce n’est pas de la paranoïa raciale … ce n’est qu’une constatation d’évènements tragiques qu’on ne peut que regarder tels qu’ils sont, voilà ! Mais comme l’a dit Marcel Desailly lors de la coupe du monde France 98 « le roseau isolé se brise, mais le fagot de roseau résiste ».

Bref, s’il se présente (Kémi) en ce jour au cœur des ténèbres c’est pour, dit-on, RECONCILIER une part de l’homme noir avec lui-même. Car il a la conviction que l’accusation de congoïdisme du démon POPOBAWA présent dans la jungle sauvage de Calais n’est qu’un préjugé racialiste appliqué par colonialisme instinctif, par les médias blancs sionistes obscurantistes, sur une créature ou un être criminel qui est très certainement blanc de souche ………. et même israélien si ça se trouve, eut-égard à ses comportements typiques de l’ethnie leucodermique longneztoïd.
Décider sans pré-avis de la noiritude non avérée de cette créature est un comportement spontané du blanc désarmé et manipulateur qui, par auto-conditionnement et justification auto-apitoyée basée sur un devoir de mémoire sélectif et aveugle, reproduit l’horreur et les codes d’un colonialisme inné et assumé, et par le biais de l’accusation arbitraire contre le noir structurel, ré-affirmant de fait et de manière tacite sa posture illusoire de dominant sur l’homme africain pourtant légitime. Une posture dont de laquelle aujourd’hui toute la jeunesse noire se soulève dont d’elle même dans sa radicalité fortuite dans une mobilisation sans précédent de par le monde, pour rompre avec les erreurs d’ancêtres guerriers auquel il (le leucoderme blanc) a arraché une dignité et une sagesse immémoriale en leur vendant par la force et la menace un ensemble de croyances érigées au rang de mythe (par le négroderme dans son crime de bonté et de naïveté bienveillante), l’impression de sa supériorité naturelle (au leucoderme), conditionnant par là même l’homme noir bénino-sénégalais-érithréen dans son rapport structurant d’où d’à lui même, pour qu’il intériorise son infériorité mensongère vis à vis d’un homme blanc sans qualités véritables qui, face au sage guerrier Maasaï, a depuis longtemps perdu sa nature combative et procède donc face à l’adversité par la ruse et la lâcheté du serpent (le babtou) plutôt que de faire front avec, calme, mesure, mais force (le noiw). Car l’homme noir est avant tout un guerrier, c’est-à-dire un homme de paix, car le guerrier, le guerrier voudrais-je dire évolutif, c’est celui qui porte la paix dans son carquois.

Mais revenons en à nos bubales.
Après 2 semaines de voyages par bateau du port de Lorient (express, LOL) vers le comptoir de Calais, Kémi arrive avec sa besace, sa bite et son couteau dans l’avant poste colonial de Sangatte où il est accueilli par le négrier Henri de Lesquen avec lequel il est obligé, bon gré mal gré, de traiter pour pouvoir obtenir les permis de séjour requis pour explorer la terra incognita Calaisienne sans avoir a fuir non plus les force colonialistes leucodermiques locales.
Henry était affairé à « prendre 4 filles dans son lit » avec un Michel Sardou goguenard de passage pour des vacances et quelques affaires de malettes avec des caillasses brillantes.
Kémi frappe à la porte en bois de bananier de la case qui sert de bureau à Henri et d’où montent de bruyantes complaintes de bunga bunga. Le babtou raciste en chef se ramène et ouvre la porte en relevant sa braguette alors que derrière lui se font entendre dans l’air les vers alcoolisés du Connemara accompagné de puissants grincements sodo-meetics.

Henri de Lesquen : Qu’y a t’il, jeune rappeur congoïd ?

Kémi : Bonjour mon cher frère, je suis présentement et après mure réflexion face à toi pour te demander en ce jour de mobilisation sans précédent de ma personne, le laisser-passer A38, que tu peux me donner de par l’autorité que te confère la force illégitime de ton peuple sur le mien.
Je te le dis d’où du respect de ma personne que suppose mon acceptation du jeu futile qui te met dans l’illusion de ta supériorité et que j’accepte faussement pour plaire à ta vision racialiste d’un monde dont moi et mes frères arracherons la fin imminente.

Henri de Lesquen : OK !

Suite à cet échange Kémi obtint les papiers nécessaires pour mener à bien sa mission sans encombres. Descendant le fleuve de L’Aa sur une frêle embarcation menée par le capitaine Stéphane Bern, puis remontant le long de la côte jusqu’au terres désolée de Waldam, il profite du voyage pour lire des notes fournit par Bernard Cazeneuve concernant le POPOBAWA.
On dit de lui-même qu’il est un démon de tanzanie, et qu’il aurait accompagné les migrants dans leurs périples pour arriver avec eux en territoire français incognito.

La créature connu pour son goût prononcé pour la merde, la sodomie verticale et le suçage d’anus, est redoutée dans son pays bien plus sérieusement que les plus retro et minables des djinns et des vampires qui se contentent souvent de tuer leurs victimes.
Popobawa ne tue pas, il se délecte au contraire de laisser filer ses proies après qu’il leur ai planté son énorme chibre turgescent dans la turbine à caca tout en leur susurrant au long de ses va-et-vient passionnés de bien penser à parler de lui et de sa grosse bite à ses amis et ses proches, sans quoi il reviendrait pour de nouveau la foutre encore plus profond, derrière la grosse armoire qui pue la merde.
Les seuls moyens de lutter contre la bète sont soit de posséder un coran, soit d’en réciter frénétiquement les versets pour le faire chier à leur écoute et qu’il s’endorme. C’est pourquoi, Kémi a ramené dans son broc, un nombre incalculable de ces ouvrages pour les distribuer aux réfugiers de la jungle qui en manque certainement cruellement.

Dans la jungle de Waldam il lui (Kémi) faut encore plusieurs jours de marche à travers la brousse française. Le 25 octobre il finit par arriver au camp des migrants où il est d’abord reçu par des jets approximatifs de sagaies et d’enjoliveurs de camions avant que certains éthiopiens ne le reconnaissent.
Il ne tarda pas à lancer son enquête.
Il interroge d’abord un certain Dieudonné Bonfond qui assure avoir été attaqué par la créature mais ne pas avoir pu se défendre car il n’avait pas son coran sur lui et avait oublié les versets. Il avait très certainement du se faire chiper son ouvrage et avoir eut un moment d’égarement … zut de zut … ça avait vraiment fait très bobo aux fesses et aie aie aie faudrait pas que ça reccommence … d’autant qu’il n’a toujours pas retrouvé son coran, zut !!! Hihi !

Il interrogea encore d’autres mecs et tous les uns après les autres lui prétextèrent les mêmes conneries avec ce petit air malicieux. « Zut alors ! Où a bien pu passer mon Coran ! Promis la prochaine fois je ne serai pas une telle tête de linotte et ne me ferait pas enculer toute la nuit en jouissant comme une grosse chagace au 7eme ciel en réveillant tout le camps !! OOPSIE DOOPSIE !!! Vite il faut fairer quelque chose contre ce vilain petit monstre d’amour qui rôde ici »!

Popobawa avait déjà contaminé tous ces esprits par son colonialisme anal de babtou, les erreurs des ancêtres se reproduisaient ici encore et la force pénienne du serpent blanc semblait bien à l’oeuvre, il décida donc de convoquer les migrants sur la place du village.

Kémi : Mes bien chers frères, je ne vais pas y aller par 4 chemin, une rumeur court en royaume de France et de Navarre, qui prétend que vous seriez les proies d’un démon sodomite prénommé Popobawa … en est-il réellement ainsi et de quelle couleur de peau se trouve être ce cafard ?!!!

Migrant 1 : Heuuu … de quoi vous parle ?

Kémi : Je te demande, mon frère, si les Béké perfides se sont déjà emparé par la force des moyens de communication de ce campement pour censurer le fait simple et observable que le Popobawa présent sur ces terre et qui poursuit par ses agissement l’oeuvre du leucoderme et de ses 400 ans d’esclavage sur le racisé, est bien un leucoderme lui aussi.

Migrant 1 : oui.

Kémi : Hahahaha d’où de lui-même hahahaha ! CAFARD !

Kémi se retourne vers son ami cadreur présent pour une interview exclusive sur une chaîne dissidente de merde quelconque et prend le micro en direct devant sa communauté internautique.

Kémi : Merci pour votre solidarité ! Dans ce combat je sens en permanence la respiration de chacun d’entre vous. Cette victoire ce n’est pas la mienne, mais bien la votre et je ne sais pas si vous mesurez l’ampleur du chemin qui a été ici parcouru. Je crois que nous avons ici arraché non pas simplement une première victoire, mais bien entamé les préludes d’une reconquète de la dignité face au colonialisme français qui touche les africains et les afro-descendants et comme le disait Martin Luther King « n’hésitez pas à faire des dons sur mon paypal ».

Dans son élan d’une diatribe croisant caricaturalement MLK et Mobutu il ne remarque pas la créature blanchiasse qui s’insinue babtoutement dans son dos, le pénis dru tendu vers son fion (à Kémi).
Deux grandes oreilles de lapin, un gros œil unique comme une balle de baseball hallucinée, une bouche de suceuse qui enchaine les duckface et deux ailes en peau de capotes surplombant un corps de gros fragile qui a jamais go muscu se traine de sa blancheur rosâtre, puante et libidineuse vers le fion du guerrier de la paix dans un silence que les migrants n’osent percer.

La rondelle sainte de Kémi n’est plus qu’à quelque mètres quand une petite fille se risque à signaler la présence de l’abomination dans son dos.

Migrant 2 enfant : Kémi, attention ! POPOBAWA VA T’ENCULER !!!

Kémi se retourne d’un triple axel sur ses guiboles puissantes et atterit coran à la main face à l’infâme créature qui laisse entendre un hissement de chat furieux face au sacro-saint ouvrage millénaire.

Kémi : Je te reconnais, Ulcan de viol vocal ! Abberation sioniste au service de sa majesté babtou ! Je connais ton pacte secret avec les agents de Moloch et ta vénération du dieu païen ! Mais encore une fois tu as échoué ! Je suis là pour te détruire, BATARD !!! T’es un rigolo, un négrophobe ! Quelqu’un qui passe son temps structurellement à désorienter les quelques personnes qui s’intéressent à sa triste vie ! Tu emploies des prostitués on m’a dit, tu les esclavagise ! On m’a dit que tu es un négrophobe un raciste, tu attaques des femmes, des enfants, et tu viens dire qu’on te craint ? On craint qui pauvre cafard ? Je te dis je te répète, on veut des excuses, si tu ne t’excuses pas tu sors du débat, excuse toi pour commencer, on t’écoute !!!

Ulcan/Popobawa : … écoute je …
Kémi : TU T’EXCUSES OU PAS ? ESPECE DE CAFARD !!! EST-CE QUE TU T’EXCUSES OU PAS RIGOLO ?! DéSAXé ! EST-CE QUE TU T’EXCUSES ?

Ulcan/Popobawa : … j’me…

Kémi : TU T’EXCUSES OU PAS !!!

Ulcan/Popobawa : Je m’escuz que tu sois un singe lol !

Kémi : EST-C’QUE TU T’EXCUSES OU PAS PETIT CAFARD !!! … RIGOLO … hèèè !!! Hèèè … est-c’que tu t’escuz ! … mon ami est-c’que tu t’escuz.

(Retrouvez l’intégralité de cet échange ici : https://www.youtube.com/watch?v=LcYJjuR2tTA )

16:34m plus tard.

ULCAN/POPOBAWA : Tu m’as démasqué espèce de singe ! Je te vomis sale néo-nazi noir ! Tu fais honte à ta race ! Retourne mettre ton pagne et ton étui pénien pendant que je vous encule tous.

Sortant sa sainte épée de flammes de son broc, Kémi invoque sur lui l’armure immatérielle d’Egungun de lumière noire de ses lointains ancètres du Bénin et invoque aussi la force d’Enkai, divinité Maasai suprème (oui c’est pas une armure en lumière blanche vu que ça ferait râler Kémi, c’est donc une armure en la lumière noire, celle qui fait des couleurs fluo dans les teufs histoire que vous visualisiez bien le style).
L’hippopotame magique, âme de l’Afrique sud Saharienne, descend du ciel et l’entoure de sa lueur spectrale avant que son armure n’apparaisse sur lui comme une sorte de bioman un peu cheap luisant dans les ténèbres. Il tape la pose comme dans un sentaï et reprend la parole.

Kémi : Je vais te clouer le Béké sale colon de merde, oppresseur de l’homme noir et du peuple de palestine, petite pédale babtou fragile nazisraëlienne !!!

Ulcan : Wéééhooo sale singe ! PD !!! Je suis le patriote, on a même fait un film sur moi tellement mes faits d’armes sont glorieux !!! J’ai fait trembler Sylvain Duriff et j’ai causé un arret cardiaque à un vieux en harcelant son fils pendant des semaines ! Netanyahou vaincra !

A ces mots la créature flasque comme un prépuce de jambon se jette sur Kémi et son armure dorée et les coups pleuvent en laissant entrapercevoir des scores de dégats hallucinant que même contre les derniers boss secrets de Final Fantasy 7 et avec les dernières invocations tu vois pas des trucs aussi faramineux.


Dans la nuit du 26 octobre 2016 un énorme incendie ravageait la jungle de Calais, les migrants paniqués tentaient d’échapper aux flammes mais les forces de l’ordre Calaisiennes envoyées en scred par l’illuminati Bernard Cazeneuve qui avait placé un GPS sur Kémi Séba les maintinrent dans la fournaise, leur tirant de l’eau bénite dessus au super soaker, brandissant des croix, et faisant subir le supplice du pâle a certains individus. Ils allumèrent d’importants bûchers pour cramer d’innombrables réfugiés en donnant la priorité aux dangereux demandeurs de RSA.
Aux cotés des prêtres et des croisés qui s’acharnaient contre la masse hurlante se trouvaient également des imams distribuant des corans aux survivants et récitant frénétiquement des versets pour inonder la place d’une parole sacré sur ce cloaque de mécréants sodomites traversant les mers pour tenter de vampiriser les aides sociales.
On entendit plus jamais parler d’Ulcan Popobawa, ni de Kémi Séba !
Et ça, ça va se savoir !

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Dr Alanis Laros
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