CREEPY PASTA : LE MASSACRE AMéRICAIN DU TEXAS

Salut les merdes sur pattes, c’est Alanis Laros, niquez bien vos daronnes !
Anjourdui je voulais vous présenter mon nouveau projet : MES PROPRES CREEPY PASTA.
Comme je ne supporte pas l’invasion fasciste de l’empire d’amérique du nord, je souhaitais renommer ça « mes propres nouilles angoissantes » … mais bon, ça faisait trop de private jokes dans la private joke … puis bon, j’me comprend. J’ai beau n’écrire mes textes que pour moi-même, à un moment faut quand même que je facilite l’accès aux trisos que vous êtes aussi.

J’entame donc une série qui, je l’espère, vous fera froid dans le bas du dos, très bas, du coté de là où y a un petit anneau ridé qui pue la merde.
Cette première histoire, TEXAS RAGE, est VRAIE ! Je le sais car elle est arrivée à une connaissance vague d’un ami d’ami vague qui l’a raconté à un camarade de travail auquel je ne m’intéresse pas trop, qui lui même m’en a parlé vaguement en étant bourré à 2H du mat dans un bar. Comme y avait des trous dans l’histoire, je me suis permis de combler à ma sauce, parce que bon, c’est pas tout que l’histoire soit vraie, faut aussi la rendre intéressante.
Comme c’était pas le cas ben j’ai supprimé 90 % du récit et rajouté une autre histoire à la place en gardant juste vaguement 3 ou 4 mots de l’histoire vraie de base. Donc bon, si on est vraiment poitnilleux, c’est une histoire avec quelques mots vrais, sortis de leur contexte, dans une histoire fausse ! BON CAUCHEMARDE.

LE MASSACRE AMéRICAIN DU TEXAS

Une histoire de frousse

  Ils s’aimaient a en mourir , John faisait l’amour a Cindy , elle ressemblait beaucoup a Christina Aguilera et lui a Ben Affleck .

La voiture remuait dans la nuit noire où une foule de grillons faisaient un « cruic cruic » tellement fort que les « scouic scouic » de la voiture ne pouvaient être entendus.

Cindy ouvrit grand sa bouche sensuelle et sa longue langue lapa le torse puissant et modérément velu de John qui gémit de délice. Il sortit son énorme bite du vagin baveux de Cindy et alors qu’elle se cambrait de plaisir il y enfourna deux énormes doigts comme des saucisses d’amour et braqua son pénis vers la porte de la voiture, grande ouverte sur la nuit noire qui régnait au dehors. Il masturbait Cindy qui, dans l’extase, se suçait les mains en gémissant et en suant comme une bête sauvage. Elle hurla quand l’orgasme l’atteint comme un coup de fusil en plein cœur. Elle jouissait alors que John éjaculait un rayon de sperme par la porte. Rayon de la puissance d’un javelot qui partit dans les ténèbres, un javelot qu’on ne reverrait jamais.

Ils s’aimaient tant . Mais en se rhabillant et en regardant au dehors, John cru voir une forme terrifiante, la forme d’un homme massif dans la nuit, pendant une seconde il lui sembla voir luire deux yeux rouge sang dans les ténèbs.

Cindy vit que John était terrifié, elle ne pu s’empêcher de lui demander !

« QU’Y A T’IL JOHN ».

“HUMMMMM RIEN CINDY” répondit-il .

Mais au fond de lui il savait qu’il avait tort, mais il n’imaginait pas ce qui allait lui arriver. Cindy avait bien compris qu’il y avait quelque chose au dehors. John ferma la porte alors que sa grosse bite pendait encore de sa braguette. Il dit :

« PARTONS D’ICI , VITE ».

« OUI JOHN ».

John se mit en position pour conduire, il tenta de garder son sang froid . Cindy se disait qu’ils étaient tiré d’affaire, qu’ils allaient partir. Mais elle ne savait pas a quel point elle se trompait. John tourna la clé de la voiture et pour toute réponse le moteur fit entendre un « PRUUUUU PRUUUU PRUUUUUU » explicite .

John dit :

« HO NOOOOOOOON , NOUS ALLONS MOURIR ».

Désespéré il leva les bras puis s’abattit de tout son poids sur le volant de la voiture pour pleurer. Au dehors, quelque chose dans les ténèbres riait sournoisement et avait raison de le faire, mais ça, Cindy et John n’en savaient rien . Cindy regarda par les fenêtres au dehors et aperçu un panneau, un peu plus loin dans les ténèbes, prés de la route dont ils s’étaient écartés pour baiser.

« REGARDE JOHN ».

John releva ses yeux plein de larmes sans y croire et regarda dans la direction que Cindy lui indiquait. Sur le panneau il y avait écrit que la prochaine station essence se trouvait à 10 kilomètres d’ici.

« BRAVO CINDY, GRÂCE A TOI NOUS AVONS PEUT ÊTRE UNE CHANCE DE NOUS EN SORTIR VIVANTS ».

Cindy prit un air fière. John sortit de la voiture bien confiant en s’élançant vers la route, … il ne savait pas à quel point il avait tort d’être confiant. Puis il revint en arrière pour dire à Cindy:

« ATTENDS MOI ICI , JE VAIS CHERCHER DE L’ESSENCE ».

John repartit en prenant bien soin de refermer pour que Cindy soit a l’abri, mais en même temps, il ne savait pas si c’était une bonne idée, alors il tenta de parler a Cindy, mais avec la porte fermée elle n’entendit pas ce qu’il lui disait, alors il ouvrit à nouveau la porte et lui dit :

« TIENT , GARDE LES CLéS , ON NE SAIT JAMAIS ».

Cindy prit un air désespérée et lui dit :

« Hé JOHN … NE MEURS PAS »

John l’air pénétré, quitta Cindy et partit dans la nuit noire. Pendant un instant il sembla a Cindy qu’une forme sombre en forme d’homme massif avec des yeux rouge sang avait suivi John dans les ténèbes. Mais bien vite elle fit en sorte de se raisonner.

« NON CE N’EST PAS POSSIBLE , IL N’Y A PERSONNE Là DEHORS ».

Elle ne pouvait pas savoir à quel point elle avait tort. John arriva au niveau du panneau que Cindy avait vu, une fois a coté du panneau il pu voir qu’en fait, une main mal intentionnée avait barré deux zéros sur la distance affichée. La prochaine station essence se trouvait en fait à 1000 kilomètres d’ici.

John paniqué se retourna pour tenter de prévenir Cindy. Mais ce qu’il vit en se retournant était bien plus terrible que la pire des visions d’horreur, il n’aurait jamais pensé voir telle abomination en ce bas monde, tant d’atrocité face a lui, une frousse indicible s’empara de lui, il se pissa dessus et sa gorge tenta de pousser le pire des hurlements jamais entendu sur terre mais elle n’y parvint pas car le choc fut tel qu’il ne put que pousser de sa gorge un infini silence évoquant mieux la terreur que n’importe quel hurlement jamais entendu sur la terre. Les cheveux de John se dressèrent sur sa tête et devinrent spontanément blancs, nombre d’entre eux tombèrent de son crane, en fait John devint chauve, des rides séculaires se formèrent sur son visage tant la peur était grande et pendant ce temps on entendit un sinistre pet abyssal dans son froc alors que son anus s’était changé en une écluse a merde.  Le débit de crotte dans son pantage était absolument formidable, bien plus violent que celui du karcher des pompiers. Les doigts de John frétillaient de terreur, sa langue palpitait à toute vitesse dans sa bouche, ses yeux tournaient sur eux-mêmes comme des tourbillons de cauchemars. Son pénis autrefois si grand se mit soudain à rétrécir, en fait John tout entier se mit à rétrécir. Sa chair devint sèche comme un biscuit, le gémissement silencieux continuait à sortir du plus profond de sa gorge. L’horreur qui lui faisait face était telle qu’aucun homme n’avait jamais vu plus effrayant, il ne pouvait pas lutter contre la peur panique enragée qui le submergeait, c’en était trop pour John, il ne pouvait rien faire contre cette vision d’horreur malsaine et insoutenable, un cauchemars incarné devant lui, avec une forme d’homme massif et des yeux rouges sang, luisant dans la nuit. La terreur éprouvée dans cette scène ne pourrait jamais être décrites que divisée par 10 000 tellement elle était puissante et redoutable. Un instant de pure terreur, de pure angoisse, tout

était à 100% au top de la terreur indescriptible et terrifiante, une véritable scène de panique comme on en voit pas deux fois dans sa vie, une terreur franche sans nom et à ce moment précis, John était en train de la vivre. La créature abattit son énorme main sur John qui s’effondra raide mort, soulagé à tout jamais de la terreur qu’il avait éprouvé.

Cindy ne remarqua pas tout de suite qu’il s’était passé quelque chose d’absolument dramatique a quelques dizaines de mètres de la voiture. Quand elle se retourna pour voir, elle vit soudain le corps de John par terre. Elle hurla de terreur, mais c’est alors qu’une chose ouvrit la porte de la voiture qui n’était plus fermée vu que John l’avait ouverte pour confier les clés à Cindy. La chose se précipita sur la jeune femme, c’était une chose terrifiante avec une forme d’homme massif et des yeux fouges vifs comme le sang des innocents. Elle se jeta sur Cindy et c’est alors que Cindy fut prise d’une peur panique comme plus aucun homme en ce bas monde n’en connaîtrait et plus aucune femme non plus d’ailleurs. Une peur d’une intensité telle qu’on aurait jamais pu la mesurer avec un quelconque instrument sans que ce dernier n’explose. Aucun baromètre, aucune échelle de Richter, aucun graphique ne pourrait jamais donner une idée de cette peur sans nom qui défie les mots et les lois de ce monde. Aucune expérience scientifique ne pourrait jamais traduire cette peur, aucun calcul d’ordinateur ne pourrait traduire en formule mathématique cette frousse … si un ordinateur tentait de le faire il lui faudrait 10 000 ans pour calculer la puissance de cette angoisse, tout cela bien sûr en calculant à une vitesse supérieure à celle de la lumière. Le pire c’est qu’à la fin du calcul, l’ordinateur exploserait et du coup personne n’aurait jamais d’aperçu de la terrible puissance de cette peur. Une peur redoutable comme aucun homme n’en a jamais vu, un cauchemars incarné d’une puissance pharaonique colossale. Cindy tremblait tant qu’on avait l’impression qu’elle se trouvait à plusieurs endroits à la fois, la voiture semblait se téléporter par saccades en divers points tant les tremblements de Cindy la faisait bouger. Un torrent de vomit s’échappa de la gorge de Cindy en même temps qu’elle hurlait, ce jet de vomi, avatar de sa terreur sans nom, ne semblait jamais devoir finir. Cindy vomissait à en faire déborder la voiture, mais la terreur était telle qu’elle n’en avait à présent que faire que la banquette soit couverte de dégueulis (en plus des tâches de sperme lol). Les yeux de Cindy gonflèrent comme des ballons modérément gonflés mais suffisamment pour être plus gros que des yeux humains. Ils virevoltèrent dans leurs orbites avant d’en sauter en tourbillonnant comme des pommes éjectées par une force étrange.

Tous les organes de Cindy, internes comme externes, tremblaient comme s’ils avait été dans un wagon de la montagne russe la plus violente de l’univers. Le sang de Cindy, absolument terrifié lui aussi par cette vision de cauchemars, décida de sortir de Cindy par le moindre de ses pores. La terreur qu’elle éprouvait était bien pire que si un extra-terrestre était tout a coup descendu d’un vaisseau spatial devant elle pour lui tirer un rayon laser mortel. C’était une peur que seuls 10 millions de siècles de discours sur la peur pourraient éventuellement frôler, et encore, la description ne donnerait un aperçu que de ce que cette peur serait en étant divisée par 1 milliard.

Alors que Cindy implosait de peur, la chose terrifiante en forme d’homme massif aux yeux rouge abattit sa main puissante sur elle et la soulagea de cette peur infini.

La chose sortit de la voiture et rugit dans la nuit, un rugissement terrifiant tel que tous les animaux à la ronde se mirent à trembler comme s’ils étaient à plusieurs endroits à la fois , nombre d’entre eux moururent tant la peur était forte , c’était une peur que même 1 milliers de milliards de siècles n’auraient pu la décrire que dans une puissance divisée par des milliards de millions de milliers.

C’était pas possible de décrire à quel point la peur était follement forte, c’est totalement dingue comme cette peur TUE, on peut rien faire contre … et cette chose à forme d’homme massif aux yeux rouge, cette chose terrifiante, erre encore dans la nuit …. mais n’ayez pas peur , après tout ce ne sont que des histoires, dont on peut supposer qu’elles sont fausses … hinhinhin … bonne nuit les petits!

Comments

comments

About the Author

Dr Alanis Laros
Allez bien niquer vos daronnes ! J'attends vos injures sur mon twitter tas de FDP @AlanisLaros
Advertisment ad adsense adlogger