CREEPY PASTA : LE LOUP GAROU DE MUNDOLSHEIM

LE LOUP GAROU DE MUNDOLSHEIM
Quand l’amour tourne mal à cause d’un loup garou inopiné

Hé oui les enfants, c’est encore moi, Alanis Laros … niquez bien vos daronnes, ai-je encore besoin de vous le dire !!!

Anjourduie nous allons parler d’une histoire bien triste puisqu’elle implique la mort de quelqu’un, et pas de n’importe qui puisque c’était la mort d’une amour de la vie !!! Les meilleurs amours possibles dans la life. Bref, cette histoire 130% vraie est arrivée à un ami très proche qui aurait pu s’appeler Jean-Noel. S’il s’était douté qu’en allant faire une petite balade dans les bois, sa femme allait se prendre une sacrée tannée, il serait peut-être resté chez lui à jouer à la game boy !! Enfin bref ! Bon cauchemerde et faisez de beaux rêvres.

Mise à mort … enfin l’histoire quoi: 

C’était y a 20 ans déjà , alors que moi et ma femme de cette époque qui nous a malheureusement quitté à présent , se trouvait avec moi , dans une forêt. NOUS NOUS AIMIONS , mais nous NE SAVIONS PAS ce qui nous attendait.
Parfois l’amour est coupable … oui … coupable … parfois l’amour pousse à se promener dans la forêt alors qu’il s’y trouve des loups garous, malgré le fait que la nature soit belle et que les oiseaux fassent « cui cui », mais quand on aime, on ne compte pas. ON NE COMPTE PAS ! NON ! Tous ces petits plaisirs et ces bravades à l’existence qui nous poussent à faire fi des pires périls, même s’il y a 99% de chances d’en décéder par la mort.
Nous étions donc sur le sentier de la mort, comme certains l’appellent, mais nous en rigolions, nous en faisions fi comme je vous disais, nous étions fols, nous étions jeunes, c’est alors qu’une énormes bêtes velues comme une boule de régurgitation nous bondit dessus.

« GRRRRRRRR » dit-elle d’un ton goguenard, je reconnu immédiatement un LOUP GAROU. Tant par ce petit fourreau sexuel avec seulement les couilles apparentes comme en possèdent les individus de la gent canine, que par son allure générale qui évoquait relativement avec justesse un loup garou … puis aussi en me fiant aux panneaux de signalisation le long du sentier qui nous mettaient en garde du risque très probable de tomber sur un loup garou à cet endroit précis de la forêt.

J’allais faire part de mes conclusions à ma femme Caroline, quand la chose s’empara d’elle et lui fit une clé de bras dans un craquement d’os gerbant, j’ai cru que j’allais gerber directement mais ma gorge ne le voulait, je ne gerbis point, j’attendu pour le faire.
Le monstre s’empara de la jambe de Caroline et la roula par terre avant de briser sa jambe sur son dos, j’ai cru que j’allais gerber directement mais ma gorge ne le voulait, je ne gerbis point, j’attendu pour le faire.
Le monstre s’empara du poitrail saint et fragile de Caroline et le concassa d’une contraction musculaire puissante comme un étaux fort, j’ai cru
que j’allais gerber directement mais ma gorge ne le voulait, je ne gerbis point, j’attendu pour le faire.

Je n’osais interviendir, de peur de déranger en interrompant cette danse mortuaire d’une rare élégance qui voyait ma femme se faire agiter en tout sens comme un vulgaire chiffon devenant, comme par enchantement, de plus en plus rouge au fur et à mesure que la bête l’agitait dans les airs comme une macabre danseuse de flamenco.
D’infimes gouttelettes d’un jus rouge et gras se répandaient dans l’air comme une sublime constellation rougeoyante, une voie lactée d’émeraudes au goût salé qui maculait mon visage et la végétation environnante.
Un arc en ciel monochromatique qui n’aurait contenu que du rouge, une mélopée de couleur qu’il m’était impossible d’interrompre sans faire preuve d’une certaine rudesse et d’un manque d’étiquette fichtrement inconvenant. Il le fallait pourtant !

Je sauta sur le monstre qui me frappit d’un revers de coude en lâchant Caroline bredouillante, les viscères à l’air, SUBLIME ! Mon nez claqua, une brèche s’ouvrit sur le dessus et un geyser de sang et de morve en jaillit, le monstre se jeta en l’air et absorba tout le jet avec sa bouche géante, puis je le vit plonger vers mon visage, ses yeux étaientt mauvais comme les yeux d’un méchant prêt à occire la bonté dans son plus simple appareil, je m’emparis de mon revolver, et tira dans sa couille.

La douleur fut telle qu’il rugite de rage , comme un dragon , il attrapa alors Caroline et fit tournoyer son corps brisé mais encore vivant au dessus de sa tête, elle hurlait une sorte de cri ridicule de castafior … un cri à la Maïté, pas franchement inquiet … en tournoyant avant de se mettre a vomir dans un gargouillis sans nom et de maculer tout le bois à 360°. Devant cette abomination et sentant la forte odeur d’aïl qui remontait avec son repas qui couvrait maintenant les branchages, le monstre la fracassa comme un chaton contre un arbre pour qu’elle cesse cette ignominie. Sa colonne vertébrale fit entendre un gros scrountch et 45,78% du contenu de sa cage thoracique fut éjecté de son corps au travers des plaies ouvertes que lui avait infligé le fauve … mais elle n’était toujours pas morte … et restait toujours sublime malgré des circonstances assez peu à son avantage.
La portion de corps dégonflé, édentée et déchiqueté qu’elle incarnait toujours, tenta par coquetterie et pour me plaire, d’un peu se recoiffer dans une flaque d’urine a coté de laquelle elle avait malencontreusement atterrit. Elle n’eut que peu de répit alors que la bète l’attrapait à nouveau pour se servir d’elle comme d’une matraque et tenter de nuire à mes jours, voir de me détruire.

Il abattit le napperon sanguinolent qu’était devenue ma femme sur ma tête. Cette dernière transperça sans peine le torse de Caroline que le monstre me la laissa ensuite empalée autour du cou comme le plus beau et féminin des colliers.
Puis il me moqua ma gueule en riant comme seul les loups peuvent le faire. C’est à dire en faisant entendre une sorte de hoquet improbable d’aboiements à la con.
Pour le « casser » j’avais envie de lui dire « moi au moins les femmes pendent à mon cou », mais ne sachant pas trop si Caroline était encore parmi nous, je me dis que c’eut pu être une triste phrase pour achever son existence et qu’il était plus judicieux de lui murmurer doucement combien je l’aimais.

Caressant doucement ses cheveux sur sa tête se trouvant quelque part derrière la mienne, je lui soufflis « je t’aiiiime ». L’écoulement de ses derniers boyaux sur mon t-shirt me fit comprendre qu’elle avait reçu le message, et que de là haut (si elle n’avait pas trop été une mécréante et ne se trouvait pas en fait en enfer), elle était avec moi pour me sortir de cette indicible panade !

Je jetais alors à terre cet amas de viande qui jadis fut mon aimée, et sortis mon coutelas pour poignarder le monstre.
Occupé a rire il n’eut le temps de voir mon coutelas qui lui fonçait droit dans le cul, putain dans son cul, trop j’l’ai déchiré, dans son cul putain, dans son cul, le cul, dans le cul, putain dans son cul, j’l’ai déchiré dans son cul, putain dans le cul, wo putain dans le cul le cul, putain dans son cul le cul déchiré dans le cul, putain dans son cul, j’l’ai déchiré dans son cul putain déchiré dans son cul le cul, déchiré du cul wo putain du cul le cul le cul.
Il gisait MORTE tel une cagole en clôture de bukake, fion dégoulinant en l’air, face bavante contre terre, j’avais gagné … joie était dans mon corps et mon être même si j’étais un peu triste d’avoir perdu ma femme adorée je t’aime.

Je retournis au niveau du parking de la forêt rentrer dans ma 405 tunée et pris mon téléphone portatif pour appeler Amélie, une vieille amie qui m’avait bien kiffé jadis.
« Allo Amélie, apparement je vais être libre ce soir car Caroline est morte … voudrait tu devenir ma nouvelle femme adorée ».
Elle fut trop contente et une nouvelle histoire d’amour incroyable naissit ce jour là.

Perdez ce que vous aimez et vous serez colère, mais la colère saine, qui mène a la joie, la joie de la vengeance, la vengeance saine de la justice, celle qui est bien à faire, oui … bien à faire … tel est mon fardeau et ma mission, … bien a faire.
AMEN.

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Dr Alanis Laros
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