50 nuances de complots #1 : Alain S.

Alain S. avait toujours suscité chez moi de l’admiration et une secrete excitation lorsque je l’ecoutais parler. Oh, comme j’aurais souhaité que son canapé rouge plein de promesses puisse servir à autre chose qu’à ses long monologues… Même s’ils était passionants, au demeurant. J’avait bien sur entendu parlé de ses années de libertinage et, bien qu’il fusse marié, je nourrissai le secret espoir que ses vieilles habitude ne l’aient pas tout a fait quittées.

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Une tel photo de profil sur le site de 30 millions d’amis… J’aurait du comprendre. Mais j’était jeune…

Je le rencontra fort fuitement sur le site de 30 millions d’amis. Nos echanges firent bref, il me parla tres peu, au final, pour ce concentrer rapidement sur le sujet pour lequelle je l’avais contacté… La rapidité a en arrivé si vite a se point me combla de joie. Non, son mariage ne l’avait vaxiné contre de breve aventures… Nous fiximes rapidement un rendez-vous. Il voulais venir chez moi, et ceux des le lendemain! J’etais honoré. Il falla cependant que je rangeais mon appartement en vitesse. Je jeta bon nombre de preservatifs usages qui trainaient sa et la, replaca les sextoys a leur place habituelle, parfuma la chambre aux odeur de musc viril -comme lui. La photo qu’il m’eut envoyé inspirait en et fait le respect le plus grand et je ne voula pas le decevoir. Enfin, je bazarda en vitesse mon canape simili cuir pour en acheter un comme le sien, afin qu’il se sentit alaise, et je deposa un bonnet peruvien non loin.

Rendez-vous dans ton cloaque à 19h samedi. Prépare-toi à t’offrir à une virilité sans faille. Voilà.

Vingt heures, déjà! J’avais mit mes dessous les plus afriolants, petit string leopard et push up coordonner, le tout sous une robe moulante cuirée – et les talons assorti. J’avais choisi le parfum le plus feminin possible, a base de rose, de jasmin, de lila, de vanille pour l’exotisme, et de fraise pour la gourmandise.  Je l’attenda encore deux bonnes heure. C’est cela, les stars, et j’en avait l’habitude, il se faisaient toujours desirer, et plus j’y pensai, plus le desir montait justement en moi. Je n’y tena déjà plus lorsqu’il sonna -enfin!- à la porte! Il me dit de suite qu’il n’avait rien acheter, qu’il n’avait pas de sous à cause de tout ceux qui voulait le faire taire… Je l’excusa bien volontier…
Je l’invita à s’assoir sur le canapé. Il vut tout de suite l’effort que j’avais fait mais n’en dit mot. Il carressa le dossier, les accoudoirs, l’assise, et je brula déjà en me disant qu’il en ferait bientôt de même avec moi… Mais il se retourna d’un coup et me dis :
– Tu compte faire des vidéo comme moi, en profitant de la notorieter du canapé?
Je lui reponda que non, bien sur.
– Tant mieux, car se serait forcement beaucoup moins interessant et pas du pertinent. Tu sais combien de livre j’ai lu avant de parlé? Un millié au moins, voilà. Tu sais combien j’ai ecrit de livre avant de faire mes video?
Je lui recita la liste de ses ouvrages comme une liste sacree. Il sourit.
– C’est bien, petite, c’est bien. Tu sais resté a ta place.
Je lui adressa le plus beau de mes sourires (et j’en ai beaucoups). Il tapota sur le canapé pour que je viennes m’assoir a cote de lui. Je ne voulais pas qu’on couche de suite ensemble, même si je me consumais, je voulais entendre et me repaitre de la parole du Maitre auparavant – mes puslions n’en serait que plus forte. Il me sussurra à l’oreille :
– Je suis content que tu ne soies pas noire, voilà. J’en est marre de ces bougnoules. Elle sont bonnes que pour les juifs et les pédés.
– Au moins je ne suit pas juive, gloussa-je.
Il me regarda, stupéfiait.
– Nan mais les juifs, s’est pour le bizness, voilà. Franchement, je men fous. Tu y crois, toi,au complosioniste? C’est du bidon, sa. Hollande, il est juif? Jupé, il est juif? Trump, il est juif? Lagardaire? Boloré? Voilà. Réfléchit. Faut bien gagné sa vie, si je veut continuer à vendre du papier et à être invitée dans des émission… Des gens qui se gargarise de me taxé d’antisémite… Voilà. Franchement, je suit plus branché grand remplacement… Mais y’a tous les tocarts à nez plats de Dieudo qui me suivent, alors je peux pas me lâché, voilà. D’aucuns y verrait un calcul, mais c’est une stratégie. L’empire, quelque pars, j’en suis. Mais pour en évité un autre, voilà. S’est eux la communauté organisé, celle qui veut gagner de l’argent, qui vit au crochet des autres, tous ça en répétant toujours les mêmes choses et en fésant la une des merdias. Tu comprends? Non, tu comprends pas. T’est une gounzesse, hein! J’ai rien à dire de plus, voilà!

Le complosioniste, s’est juste pour faire du fric, s’est pour les médiocres, s’est pas moi qui le dit. Moi se qui me branche, s’est casser du black comme les potes du GUD, mais s’est vachement moins vendeur.

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Et ainsi il m’avais séduite…

J’en avait un peu mare et, pour tout dire, il me décevait un peu. Ni une, ni deux, ni trois, j’enleva ma robe et je me précipita sur son pantalon, laissant découvrir son membre virile. Les photos qu’il avait pues m’envoyer m’avait mise en appêtit. Je me disais : si au repos, s’est ça… En pleine action! Je frotta ma poitrine contre ses genoux, mais la taille ne variait pas. Je commença à tâter… Et s’est là que je compris le supterfuge. Un résidue de colle – surement du scotch – était restée sur son scrotum. J’était très déçu. J’avais compris : sur les photo, il était déjà en pleine possession de ses moyen, ce qui le faisait dessendre dans ma grille de valeur de « mension très honorable » a « tout juste correct »… Et encore! Parce que je n’avait pas vu le loup depuis plus de deux semaines! Il dût comprendre que j’avais comprit, car il reprit la parole.

– Alors voilà, là je suis pas au top, mais on peux faire mieux, je te promet.

Il fixait le font de la pièce. Je me retourna. Je chercha longtemps. La photo d’une précédente orgie qui tronait sur le buffé? Ma collexion de joujou sexuels dont j’avais laissée le tiroir entrebailler? La série de shooting de moi-même affiché sur le mur, cadeau de Jacques Henric? Mais il dit :

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Crousty mangeais bien des carottes… Mais par petit bouts, tout de même…


– Un hamster? Tu as un hamster? Tu sais qu’ils peuve mettre beaucoup, beaucoup de chose dans leurs bouche?

Le souvenir de Poupeto me traversa la tête. « Misères du Désir ». Je l’avais pourtant aimer, mais je pensais qu’il n’y était question que de fixion…  Je m’étais trompé. Mais mon pauvre Crousty… La pensée de le voir finir entourée de scotch me pétrifia. Je balbutia :
– Euh, il y a mieux, tu sait… J’ai la clé de ma voisine Jausiane… Elle a trois bichons…
– TROIS?
– On peut allé les voir, si tu veux…
– Oh oui, oui! J’adore les chiens! J’adore tous les animaux
, rajouta-til en regardant une nouvelle fois Crousty.

Je l’attrapa par la main et, les sein ballotants légèrement par dessus ma nuisette, nous descendâmes l’escalier, au grand bonheur de Monsieur Michon, du deuxième, qui ne me quitta pas des yeux. J’ouvrit la porte de chez Jausiane. Riri, Fifi et Loulou se précipétèrent sur moi, pensant que je venais les nourir… Mais on parlait bien d’une autre nourriture…

Riri, à l’oeil pétillant, et sa passion pour les fesses pas très propres… Fifi, la bave aux lèvres, se jetant goulûment sur mon pénis enduit de confiture de coing… Loulou, qui accepta un doigt, puis deux, puis la main tout entière, le tout en couinant de délices… Oh, j’ai du mal à le dire, mais quel fut le plaisir que je pris entre eux trois, orgie de quatre animaux en rut, de quatre désirs qui se rencontraient… Alain S., Détresse de l’Eros.

Je regardais le spectacle mie dépitée, mie amusée. Mie dépitée, car si Riri et Fifi semblait s’amuser, le pauvre Loulou, lui, ne semblait pas couiner de plaisir, quoi qu’il puisse dire… Et dépité aussi de voir Celui qui s’Erigeais l’Empire, le bourreau des coeurs et des slouggis, n’être qu’un minable fasho qui baisais des chiens…  Mi amusée… Parce qu’au moins, à la vue des chiens, sont « tout juste correct » avais tous de même pris un bon centimètre… Au désespoir du pauvre Loulou. Mais le paroquicisme arriva ensuite. Entre deux gémissement, il m’ordonna :
– Femelle, agite tes chairs flascs devant moi, sa me plait de voir ça quand je baise un trou digne de ce nom…

S’en était trop pour moi. Je fus semblant de ne pas avoir entendu, dailleurs, il venait d’attrapper Riri à son tour, qui quitta sa réputation de plus grand renifleur d’anus du quartié pour remplacé le pauvre Loulou, qui gisait à terre. Je me leva, ferma la porte discrétement, et j’alla trouver Monsieur Michon qui n’avait aucune ora, qui sentais le saucisson dans sa bouche et la maré dans son slip, mais qui au moins sue profiter d’une femme, d’une vrai…

Le lendemain, je retourna fermé l’appartement de Jausiane. Les pauvres Riri et Loulou avait du mal à marcher… Quand à Fifi, il ne voulut pas des croquettes que je lui versa…

Nous avons cacher les parties sensibles, au cas ou Alain viendrais sur le site et se retrouves avec une érection fort fuite.

Nous avons cacher les parties sensibles, au cas ou Alain viendrais sur le site et se retrouves avec une érection fort fuite.

Plus tard, j’apprit que sur twitter, Alain m’avait taxé de « salope frigide, tout juste bonne à allumer sans rien concrétiser » (je cites dans le texte). Je ne prit pas le temps de répondre ni de raconté… Jusqu’a aujourd’hui.

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Laurina Cerras
Journaliste et enquêtrice, je souhaite, après avoir gravitée dans les milieux des merdias classiques et vendu au pouvoir, ainsi que ceux de la vie et nuit parisienne, faire part de mes expérience à mes lecteurs, qui méritent avant tout ma vérité.
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