GAÏAX. Comment l’ordinateur bio de Richard STALLMAN va faire tomber le lobby de l’anti-virus.

Coup de tonnerre de le landerneau de l’informatique, au détour d’un colloque participatif organisé par le festival Burning Man, Richard STALLMAN, l’incontournable Gandalf du logiciel libre et non faussé vient d’annoncer le lancement du projet GAIAX, une interface absolument bio, sans additions chimique et totalement bio qui s’annonce comme un véritable coup de tonnerre dans le landerneau de l’informatique.

Grâce à GAIAX, vous pourrez bientôt faire vos propres recherches de façon totalement subservise et ce sans jamais reverser un seul centimes aux labos de l’anti-virus qui prétendent posséder la main-mise sur l’ensemble du marché de l’information.

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Car sachez-le, l’industrie de l’anti-virus tire ses profits d’un effroyable mensonge contre lequel se sont elevés plusieurs lanceurs d’alerte au regard alerte. Ce qui a valu à STALLMAN d’être nominé à l’unamimité aux LdA grammy awards, organisés de concert par tout les sites d’infos véritables comme MPR ou le Réseau Sherlock Holmes (au diable les SecretNews, Nordpress et autres Gorafi).

Partant du constat que des centaines d’agents nocifs sont introduits chaque jour dans les systèmes d’exploitations imposé par ceux qui nous gouverne au mouton consommateur, l’option GAIAX prétend s’imposer comme une solution révolutionnaire à la plupart des problèmes rencontrés par l’utilisateur, et nous allons vous expliquer comment le fait de comprendre cela va vous permettre de générer des revenus automatiques de 3000 euros par mois dès le premier mois.

On veut vous faire croire que votre ordinateur a besoin d’antivirus pour créer une dépendance. CE SONT DES METHODES DE TRAFIQUANT DE DROGUES. CE SONT DES MARCHAND DE MORT!!stopav

L’informatique moderne dite scientifique se contente de traiter les symptômes sans traiter les causes. Parce qu’on refuse de regarder les causes en face, on bombarde l’organisme de l’ordinateur de produits contre-nature et alors qu’on prétend le soigner, on le détruit.
Des dizaines de composants métalliques et ionisants sont introduits de force dans des ordinateurs qui n’ont que quelques mois, parfois même quelque semaines. Face à cette dérive apparemment inarrêtable, GAIAX se fonde sur une approche holistique de l’informatique. GAIAX considère l’ordinateur dans sa totalité et respecte tout les nuances de son être.

« Nous sommes partis du principe que si la Nature n’a pas mis quelque chose à un endroit précis, c’est qu’il n’y a rien à y faire. Il est inutile, superflu et souvent nocif d’imposer des éléments artificiels à un ordinateur. Nous avons peu à peu enlevé de nos ordinateurs les éléments contre-nature, à commencer par les anti-virus»

STALLMAN et son équipe ont travaillé par ablation, par amputation plus que par ajouts. Il en est ressorti un produit au design épuré et à l’ergonomie élégante. Ainsi, l’écran tactile de GAIAX est intégralement non-oppressif et se fond dans le paysage (voir photo ci-dessous).gaiax

C’est dans ce presque rien que se révèle la force de GAIAX.

Car GAIAX est surtout un mode de vie. Le mot d’ordre est très simple : « Pas d’anti-virus ». Selon STALLMAN, tout système d’exploitation peut recourrir à une détox purifiante et devenir GAIAX. Il y a une prise de risque indéniable. Peut-être que votre ordinateur ralentira en apparence mais ce sera mieux, car il n’y aura pas d’antivirus et GAIAX vous apprendra qu’il y a certaines choses qu’il faut accepter. Que le temps de l’homme dominateur de la Nature est un temps révolu. C’est aussi par le don de soi que l’on accède à l’harmonie.

Car le lancement de GAIAX n’est que la première étape d’un projet de plus grande envergure.

« Nous comptons nous positionner dans le commerce du Coltan. Nous allons financer une étude indépendante sur la mémoire du Coltan dont les conclusions nous permettront de renforcer notre position. Cette étude prouvera que plus un produit électronique est dilué dans du Coltan, plus son efficacité est grandement décuplée en plus. »

Projet philanthropique s’il en est, l’exploitation du Coltan permet aux enfants qui n’ont rien des pays pauvres de se trouver un emploi. Ils peuvent ainsi s’insérer dans d’étroits goulots et se réinsérer dans la société.

Car pour STALLMAN, l’informatique est toujours déjà de la politique. Ainsi STALLMAN s’élève contre la supercherie des anti-virus, en oubliant de préciser que ce sont toujours les plus pauvres qui en pâtissent.

stallmanafriqueOn prétend soigner les ordinateurs, mais alors pourquoi ce sont toujours les ordinateurs des pays pauvres, surtout l’afrique, qui reçoivent des anti-virus périmés? Cela veut dire qu’ils ne sont pas dignes de recevoir les mêmes anti-virus que les ordinateurs occidentaux. Je me suis déjà rendu en Afrique afin de résoudre ce problème.

 

 

 

Alors, quel avenir pour le projet GAÏAX. STALLMAN ne dissimule pas ses ambitions.

« A terme, nous voulons changer le monde. Les crises actuelles nous poussent à nous interoger sur l’essence véritable de nos ordinateurs. Le monde a changé. Maintenant, n’importe qui peut faire ses propres recherches sur Youtube depuis son téléphone alors il ne faut pas avoir peur de remettre en question l’ordinateur tel que nous l’avons toujours conçu. Pourquoi des antivirus ? Pourquoi cette obsession de la vitesse et de l’efficacité ? Nous sommes pour la décroissance. Nous faisons l’éloge de la lenteur. Je me sens proche de la philosophie de Pierre Rahbi. Comme lui je pense que nous mépriser l’être au profit de l’avoir. Ce qui compte ce n’est pas tout les anti-virus qu’a notre ordinateur, mais ce qu’il est en conscience»

Afin de défendre son projet, STALLMAN, s’est rapproché d’autres dissidents. A l’heure de l’intersectionnalité des luttes, l’union fait la force. Il a ainsi offert un mur de glace sans gluten à la communauté scientifique de la terre platte.

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Il lancera aussi très officiellement la plateforme de financement participatif qui permettra de payer les infrastructures de GAÏAX depuis le théâtre de la Main d’Or en compagnie du résistant Dieudonné et du sociologue Alain Soral. Il s’y est d’ailleurs déjà pour des répétitions (voir photo ci-dessous).

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